Le peuple autochtone est un peuple enfermé dans une société multiethnique remplaciste. La loi du nombre veut que, bientôt, les allochtones décident « démocratiquement » du destin des Autochtones.
Nous considérons que les Autochtones ne peuvent plus se laisser dissocier et diluer dans la société multiethnique. Ils doivent au contraire se rassembler et s’organiser, pour se libérer.
Si vous considérez avec nous que la résilience puis la libération du peuple autochtone oblige à reconstruire une société autochtone solidaire, alors ce qui suit vous concerne. Dans le cas contraire, épargnez-vous cette lecture !
« La seule condition au triomphe du mal, c’est l’inaction des gens de bien » (Edmund Burke)
Appel aux Autochtones conscients !
- Nous vous proposons ici un projet ;
- Nous vous proposons un engagement ;
- Un engagement qui respectera votre anonymat ;
- Un engagement qui respectera votre autonomie et vos choix ;
- Un engagement que vous pourrez rompre à tout moment ;
- Un engagement qui ouvrira sur une société parallèle autochtone résiliente.
Lisez ce qui suit et, si vous êtes prêt, contactez-nous !
http://www.autochtonisme.com/contact
Contextualisation du projet
De nombreux lecteurs nous sollicitent pour agir. Ils voudraient que la stratégie autochtoniste se matérialise maintenant de façon plus concrète, sur le terrain, par des initiatives qui rassemblent, et on nous demande fréquemment quoi faire en ce sens.
Notre projet originel était le suivant : des personnalités reconnues dans le camp réfractaire se réunissent dans une sorte de CNR et lancent, comme l’ont fait en leur temps des personnalités juives, roms ou kosovardes, un appel à la réunion d’un Congrès national-autochtone. Comme dans les cas juifs, roms ou kosovards, ce premier Congrès se serait institué Parlement et aurait nommé un « Gouvernement ». Ces actions initiales, la constitution d’un CNR et la réunion d’un Congrès, auraient été le point de départ d’un Etat parallèle autochtone à même d’organiser et de mettre en ordre de bataille le peuple autochtone. Nous expliquons tout cela dans plusieurs articles de notre blog, ainsi que dans ce PDF, dont nous conseillons la lecture.
A l’évidence, malgré nos efforts, cette stratégie CNR + Congrès ne paraît pas être la bonne pour le moment. Peu importe les raisons (saturation en engagements des personnalités dont nous parlons, mirage électoraliste qui égare encore certains, et aussi peut-être caractère trop radical et disruptif du point de vue national-autochtone), puisque c’est un fait. Or le temps nous est compté.
Nous proposons donc cette stratégie alternative, non pyramidale, que nous pouvons mettre en œuvre très rapidement… pour peu que le nombre d’Autochtones conscients prêts à l’adopter soit suffisant !
Avant d’expliquer en quoi elle consiste, pour que les choses soient bien claires, il nous faut rappeler la place de cette stratégie intermédiaire dans notre stratégie globale.
Il faut toujours avoir à l’esprit que l’entreprise que nous exposons ici est un moyen, un outil qui permet de créer l’œuvre mais qui n’est pas l’œuvre elle-même. L’objectif final de l’entreprise, transcende absolument celle-ci.
Si notre stratégie globale a pour objectif final de libérer le peuple autochtone, il va de soi que le passage de l’état présent, qui voit notre peuple enfermé dans une société multiethnique, à l’état désiré, qui se caractérisera par le Grand Rapatriement des allochtones et le droit de notre peuple à disposer de lui-même, ne se fera pas d’un seul bon. Il faudra des étapes intermédiaires, des paliers. Parvenir à chacun de ces paliers nécessitera également une stratégie spécifique adaptée, que nous nommons « stratégie intermédiaire ». Nous proposons ici une première stratégie intermédiaire, afin d’atteindre le premier palier.
Exposé succinct de cette première stratégie intermédiaire
- Tout d’abord, un constat : Internet est un nouveau « théâtre d’opération » et les réfractaires y agissent toujours isolément.
Jusqu’au début des années 1990, les plus anciens s’en souviennent, le travail militant se passait dans la rue. C’était le temps des tractages, des affichages, des « bombages » et des confrontations entre militants. Aujourd’hui, tout cela paraît bien désuet : l’essentiel du combat idéologique se déroule sur les réseaux sociaux. Un commentaire tranquillement fait sur un forum touchera plus de monde qu’une affiche collée à trois heures du matin et déchirée à sept.
Le Pentagone a défini internet comme « un champ de bataille virtuel». La capacité à interdire à l’ennemi de « contrôler la population » est selon lui une « opération majeure de combat » (cette mission est confiée à l’US Cyber Command - US CYBERCOM). La revue du ministère français de la Défense (ADA n° 365) confirme elle-aussi que le Cyberespace est devenu le « 5e champ de bataille » (après la terre, l’air, la mer et l’espace).
De nombreux pays (Israël, Etats-Unis, Chine, mais aussi la France ou le Royaume-Uni) utilisent ainsi des « soldats digitaux » pour défendre leurs intérêts nationaux sur les réseaux sociaux, pour influencer l’opinion publique, pour modifier les perceptions défavorables, voire pour saper les discours divergents. Il existe donc une propagande internet d’Etat (State-sponsored Internet propaganda), qui utilisent de véritables « armées digitales » afin de mener une guerre dont l’enjeu n’est rien moins que le contrôle des populations.
Il faut savoir également que des entreprises utilisent elles-aussi des opérateurs chargés de favoriser leur image sur les réseaux sociaux. Amazon a ainsi créé une « armée » de « soldats numériques » chargée de lutter contre sa mauvaise réputation en tant qu’employeur. Elle n’est pas la seule, et de nombreux lobbies agissent également de cette façon (les réseaux Soros par exemple).
Les réfractaires le savent mieux que quiconque : le cyberespace est le lieu par excellence de la guerre idéologique moderne. Ceux qui analysent les tensions de cet univers numérique emploient un vocabulaire qui ne laisse aucun doute à ce sujet : « Web brigades », « soldat digital », « soldat numérique », « armée digitale », « Forces de Sécurités Digitales », « Art de la guerre digitale », « campagne digitale », etc. Les « soldats digitaux » des Etats, des Entreprises et des lobbies mènent donc de véritables guerres. Peut-on les affronter en ordre dispersé ?
Des milliers de réfractaires interviennent tous les jours dans cette guerre, à ceci prêt qu’ils le font en francs tireurs isolés, ce qui diminue fortement l’efficacité de leur action. Alors que les « armées digitales » classiques, celles des Etats, des Entreprises ou des lobbies, agissent « en meutes » de manière planifiée et selon une stratégie définie, les réfractaires agissent isolément, sans se concerter et sans véritable plan. Or, on sait depuis la Guerre des Gaules et la bataille de Crécy que l’addition de courages individuels s’incline toujours devant l’action des armées organisées.
- On pourrait donc imaginer la constitution d’une armée digitale autochtone, composée de groupes de combat digitaux. L’action de ces groupes devra être conforme aux impératifs de l’objectif désiré, bien que lointain encore, de la stratégie globale (ici libérer le peuple autochtone). Cette action devra donc avoir comme préoccupations principales l’influence et la modification des perceptions à l’avantage des Autochtones, mais aussi et d’abord le recrutement de nouveaux soldats digitaux (NB : les expressions « armée digitale », « groupe de combat digitaux », « soldats digitaux » sont bien sûr des métaphores).
Nous avons largement le potentiel humain nécessaire pour former une telle armée digitale. Mais, on l’aura compris, la constitution de cette armée ne peut être, dans le projet autochtoniste, qu’une étape intermédiaire. Nous verrons plus loin en quoi cette étape va servir le projet global. Auparavant, il nous faut expliquer comment, et par quels moyens, nous pourrions l’atteindre.
- Utiliser les principes de l’holacratie : fonctionnement général
Nous n’allons pas donner ici une explication détaillée du concept d’holacratie (cet article Wikipedia donne une première approche). Qu’on se contente pour le moment de savoir que l’holacratie s’attache surtout au monde de l’Entreprise et qu’elle vise essentiellement à substituer une organisation horizontale à l’organisation pyramidale et hiérarchique traditionnelle.
Même si l’holacratie appliquée à l’Entreprise nous semble anthropologiquement problématique (les sociétés humaines sont hiérarchiques depuis la nuit des temps), l’holacratie nous ouvre la possibilité, à partir de presque rien, d’enclencher d’une part un processus d’auto-organisation non hiérarchisée et d’autre part de différer l’organisation pyramidale traditionnelle jusqu’au moment où se réunira le Congrès autochtone. L’holacratie nous donne des outils pour construire ce qui n’existe pas encore (une armée digitale autochtone) tout en évacuant les problèmes d’ego, qui minent toutes les velléités d’organisation réfractaire.
Le module de base de l’organisation holarchique (l’holarchie) est le Cercle.
Les Cercles sont essentiellement de deux ordres (Cercle d’ancrage et Cercles structurels), avec pour chacun d’entre eux des rôles différents. Ramenés à notre problématique, ces rôles sont succinctement les suivants :
- Le Cercle d’ancrage
La raison d’être du Cercle d’ancrage est la formation d’une Armée digitale autochtone.
Le Cercle d’ancrage donne la première impulsion à une organisation qui doit ensuite s’auto-engendrée en toute autonomie.
Le Cercle d’ancrage enregistre les volontaires, de manière anonyme, sous forme d’ « Alias » (le principe de base reste l’anonymat des membres de l’organisation).
Le Cercle d’ancrage affecte les volontaires (soldats digitaux) dans des Cercles structurels (également nommés « équipes »).
- Les Cercles structurels, ou équipes
La raison d’être des Cercles structurels est, d’une part, l’influence sur les réseaux sociaux (défendre la cause autochtone et la dignité des Autochtones), et d’autre part, et surtout : le recrutement de nouveaux soldats digitaux (selon une procédure que nous indiquerons aux volontaires).
Tous les Cercles structurels comportent cinq membres. Ceux-ci conservent leur anonymat (sauf désir contraire de TOUS les membres du Cercle).
Chaque Cercle structurel est autonome : il décide de ses objectifs, de ses méthodes, de sa discipline interne et des domaines sur lesquels il veut intervenir (tel site internet, YouTube, Facebook, Instagram, etc.).
Un membre du Cercle, appelé « membre premier lien », fait le lien entre le Cercle structurel et le Cercle d’ancrage.
Le fonctionnement intérieur du Cercle n’intéresse que les membres du Cercle. Les éventuels problèmes doivent être résolus en interne, la sollicitation du Cercle d’ancrage ne peut se faire qu’en dernier recours, lorsqu’il n’y a plus d’autres solutions.
Ajoutons ici les notions de Sous-Cercle et de super-Cercle (un sous-Cercle est une équipe normalement indépendante affectée à un Cercle pour une opération d’influence plus importante. Un super-Cercle est le nom de l’équipe à qui l’on affecte un ou plusieurs sous-Cercles).
- Devenir « soldat digital »
Les volontaires, notamment ceux qui seront contactés sur les réseaux sociaux par les membres des Cercles structurels, devront :
- Se mettre en relation avec le Cercle d’ancrage selon une procédure qui leur sera indiquée ;
- Communiquer au Cercle d’ancrage : une adresse de messagerie dédiée à l’activité, le numéro de leur département de résidence et un prénom quelconque.
- Accepter les termes d’une « Constitution » (les « règles du jeu » de l’Armée digitale autochtone) ainsi qu’une déclaration de fidélité et de loyauté ;
Le Cercle d’ancrage affectera alors le volontaire dans un Cercle structurel, selon une procédure qui lui sera communiquée.
Le soldat digital décidera avec ses camarades des domaines d’action, des objectifs et des méthodes du Cercle structurel dont il fait partie.
Il remplira les objectifs sur lesquelles il va s’engager (en fonction de ses possibilités, de ses choix, de son temps disponible… mais avec constance et loyauté).
Ses camarades d’équipe seront garants de sa loyauté, comme il sera garant de leur loyauté.
A noter : la vie du soldat digital en dehors du Cercle structurel n’intéresse personne. Cependant, il s’engagera à ne jamais nuire à la cause autochtone.
Le passage de la première à la seconde stratégie intermédiaire
La formation d’une Armée digitale n’est pas l’objectif final de notre action. Cette Armée n’est qu’un moyen d’une ambition plus vaste : rassembler et organiser la fraction consciente de notre peuple.
Dans un second temps, cette Armée virtuelle doit en effet s’incarner dans le monde réel, non pas bien sûr comme une « armée », mais sous la forme de communautés locales autochtones.
Cette matérialisation n’est envisageable que si le nombre de volontaires digitaux est suffisant pour permettre un passage au stade communautaire. Ce nombre reste à définir et dépendra du contexte et du moment.
Les communautés autochtones locales dont il est question devront rassembler les volontaires, mais aussi leur famille. Autour de ce noyau central structurant doivent pouvoir s’agréger tous les Autochtones conscients, d’où qu’ils viennent et quelle que soit leur implication dans la cause.
Il reviendra au Cercle d’ancrage, selon des procédures que nous ne pouvons exposer ici, de proposer la fin de l’anonymat à chaque membre de l’Armée digitale, puis d’organiser les regroupements départementaux ou infra-départementaux avec ceux qui auront accepté de sortir de l’ombre.
Les communautés locales autochtones doivent être des réseaux de sociabilités, d’entraide, mais aussi de combat et de reconquête. Elles seront les cellules de base d’une société parallèle autochtone et de véritables grumeaux résistant aux dissolutions de la société multiethnique.
Quand ce palier sera atteint, nous pourrons passer de la seconde à la troisième stratégie intermédiaire : réunir dans un Congrès autochtone fondateur un ou plusieurs représentants de chaque communauté locale. Ce Congrès se proclamera « Parlement ». Il posera une Constitution. Il nommera un « Gouvernement ». Bref, il permettra l’établissement d’un Etat parallèle autochtone qui mettra le peuple autochtone en capacité de se libérer.
Etes-vous prêts à intégrer l’Armée digitale autochtone ?
L’exposé que nous venons de faire est très succinct et bien sûr incomplet. Nous avons ébauché notre « holacratie » dans ses grandes lignes. Nous n’avons pas traité des mécanismes d’information. Nous n’avons pas parlé des manières de communiquer à l’intérieur des Cercles et dans l’Armée en général. Nous n’avons pas abordé les moyens permettant de contrôler ou d’exclure des membres déloyaux ou perturbateurs. Nous n’avons pas précisé les dispositifs de recrutement. Etc. L’holacratie que nous proposons ne se fera pas d’un claquement de doigt et de nombreux problèmes que nous n’imaginons même pas devront être résolus quand ils se présenteront.
Chacun aura compris qu’il n’est pas question ici d’une action flamboyante ou d’une charge héroïque mais de travail souterrain, d’abnégation et de constance. Nous ne cherchons donc pas des matamores, des velléitaires, des vindicatifs ou des personnalités négatives. Nous cherchons des bâtisseurs de peuple méthodiques, persévérants, innovants, capables d’aller chercher et d’agréger les nôtres un par un.
Tout ceci étant précisé, vous devez savoir aussi que les membres du Cercle d’ancrage dont nous parlons se réunissent déjà depuis plusieurs semaines. Un gros travail a été fait. Cependant :
Avant d’aller plus loin, il faut maintenant que nous sachions sur combien d’entre vous nous pouvons compter !
On attend de vous :
- Un comportement loyal ;
- Vos compétences ;
- Un engagement à la mesure de vos disponibilités. Cet engagement pourra être faible mais il ne pourra pas être nul ;
L’Armée digitale, de son côté :
- Vous laissera libre de la quitter à tout moment ;
- Respectera votre anonymat ;
- Vous affectera dans une équipe de combat digitale ;
- Vous sollicitera le moment venu pour passer du « virtuel » au « réel » et respectera votre décision quelle qu’elle soit.
Si vous désirez participer à ce projet, contactez le site Terre Autochtone ici :
http://www.autochtonisme.com/contact
- Nous prendrons attachement de votre demande et nous vous recontacterons quand nous estimerons que le nombre de volontaires sera suffisant.
- Si nous ne parvenions pas à atteindre le nombre de volontaires que nous nous sommes fixés, alors le projet ne serait pas réalisable pour le moment, et vous en serez également informé.
Il n’est pas trop tard pour agir, mais le temps est compté.
Etes-vous de ceux qui agissent ?