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Terre Autochtone

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Le blog des aborigènes d'Europe, par Antonin Campana


Une cinquième colonne insurrectionnelle ? Voici pourquoi, selon moi, l’Algérie pourrait représenter une menace pour la France

Publié par Antonin Campana sur 14 Février 2023, 19:09pm

Catégories : #Perspectives Autochtones, #International

Une cinquième colonne insurrectionnelle ? Voici pourquoi, selon moi, l’Algérie pourrait représenter une menace pour la France

Je dois avouer que l’importance géopolitique des relations entre l’Algérie et la Russie ne mobilisait pas spécialement mes pensées….  Jusqu’à la guerre en Ukraine. Depuis le 24 février 2022, l’évolution de ces relations (que bien sûr je considère d’abord du point de vue des Autochtones européens de France et que je place dans le contexte de la troisième guerre mondiale) m’a paru digne d’attention. Il me semble observer une « tendance » géopolitique de dissociation (de l’Algérie d’avec la France) et de rapprochement (de l’Algérie avec la Russie) et je pousse cette tendance au bout de sa logique, jusqu’à l’absurde diront certains, qui me paraît être celle de la confrontation indirecte, par « 5e colonne » interposée, entre l’Algérie et la France. D’où cet article du 31 janvier, sur une guerre générale (mondiale) doublée d’une guerre intérieure.

Cet article a suscité plusieurs réactions, et je me dois de préciser certaines des raisons qui m’ont fait envisager l’hypothèse osée de l’offensive d’une armée islamique téléguidée par l’Algérie, au Sud de la France, alors que l’armée française serait fixée par les Russes, sur un front quelque part à l’Est.  Les voici, succinctement exposées :

- Les relations russo-algériennes qui étaient amicales avant la guerre, se sont encore renforcées depuis la guerre. Ainsi Alger n’a pas voté la résolution de l’ONU du 02 mars 2022 qui exige que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force contre l’Ukraine. Elle n’a pas voté non plus la décision de L’Assemblée générale des Nations unies de suspendre la Russie du Conseil des droits de l’homme (CDH), ni la résolution sur l’annexion « illégale » de quatre régions « ukrainiennes » par la Russie. Des députés européens ont récemment dénoncé le soutien d’Alger aux « aspirations géopolitiques de la Russie » doublé d’un « soutien politique, logistique et financier ». Ce qu’ils rapportent est factuellement exact !

 

- Les relations avec la France ne s’améliorent pas, bien au contraire. L’Algérie est travaillée depuis 1962 par une narration anti-française et une haine de la France qui paradoxalement relèvent autant de la paranoïa que d’une stratégie victimaire très rationnelle et soigneusement entrenue. Que ce schéma narratif relève de la fiction (soit en totalité, soit en partie) n’a pas d’importance ici. Ce qui est structurant est que le récit proposé est admis par l’ensemble de la population (y compris émigrée) et des élites politiques algériennes. Autrement dit, l’Algérie est prisonnière de ce récit et c’est en fonction de celui-ci qu’elle déterminera son attitude et ses relations avec la France.

 

- Le mépris des Algériens pour les dérives sociétales de la France (féminisme, idéologie du genre et LGBT, antispécisme…) n’a d’égal que l’ignorance que les Français ont de ce mépris. Paradoxalement, l’Algérie et la France se sont éloignées non pas culturellement mais anthropologiquement. Un Français et un Algérien des années 1960 partageaient de nombreux points communs outre la langue. Ils avaient l’un et l’autre une vision traditionnelle de la famille, de la religion, des rôles sociaux des hommes et des femmes… et pouvaient se comprendre. L’idée selon laquelle un homme peut allaiter ou être une lesbienne ne pouvait venir à l’esprit ni de l’un ni de l’autre. Cela leur était littéralement inconceptualisable ! Aujourd’hui ça l’est… pour le Français. Cette rupture anthropologique oppose ainsi, de manière radicale, deux modèles de sociétés qui sont corrosifs l’un pour l’autre. Deux modèles inconciliables qui, ne pouvant plus communiquer, ne peuvent que s’opposer, se heurter et se faire la guerre, comme en Ukraine. Car évidemment, ce conflit décidera aussi de l’avenir de ces modèles anthropologiques. Or, l’Algérie a choisi son camp. Et, naturellement, ce n’est pas celui qu'a choisi la France !

 

- Toutes les nations ont compris que la nouvelle architecture des relations internationales sera multipolaire et émancipée de l’Occident. Le « camp unipolaire » (l’Occident sous domination américaine) n’a plus de base industrielle (celle-ci a été « délocalisée »), plus de démographie, plus d’homogénéité, plus de ressources énergétiques, plus d’ingénieurs, plus de « sang »…  Qu’a-t-il à échanger ? L’Algérie sait très bien que ses intérêts vitaux n’imposent plus des liens étroits avec une France désindustrialisée et anémiée, si ce n’est pour y déverser son trop plein de population, mais l’obligent au contraire à des relations serrées avec les nations qui demain vont structurer les nouvelles relations internationales (d’autant que ces nations possèdent une solide base industrielle et peuvent lui permettre d’échanger des hydrocarbures contre des biens d’équipements ou de l’armement). Aujourd’hui la Chine est déjà le premier fournisseur de l’Algérie, loin devant la France (18.1% des importations proviennent de Chine, contre 9.3% de France. Chiffres 2017).  C’est pourquoi, en bonne logique, l’Algérie aspire à rejoindre les BRICS et s’éloigne progressivement d’un monde occidental en perdition. Toutes les conditions sont donc réunies pour que la douleur d’une éventuelle rupture soit compensée par les avantages d’une nouvelle relation. Dès lors, au vu de l’adhésion des Algériens au récit narratif anti-français, que nous avons souligné plus haut, il est probable, vaisselle cassée et coups échangés, que le divorce ne se fera pas « à l’amiable ».

 

- Autre raison : la démographie ! La démographie a totalement bouleversé les rapports de force et nous a fait changer de séquence historique. Les choses se sont inversées : la France se rétracte, l’Algérie se dilate.

L’Algérie avait environ 3 millions d’habitants en 1830 et la France dix fois plus. C’étaient logiquement des Français et des Européens qui partaient s’installer en Algérie. Or, depuis 1963, la France a un indice de fécondité inférieur à 2.07 enfants par femme. Autrement dit, alors que la population algérienne passe de 12 millions en 1966 à 45 millions aujourd’hui, la population autochtone en France (48 millions d’habitants en 1964) ne se renouvelle plus depuis 60 ans : elle se rétracte. Conséquence : des Algériens, notamment, viennent combler ce déficit de population. Ainsi, si l’on considère les poids démographiques respectifs de l’Algérie et de la France aujourd’hui, on comparera les 51 millions de personnes algériennes ou d’origine algérienne (45 millions + 6 ou 7 millions d’émigrés en France) et les 51 millions d’autochtones Français (68 millions d’habitants desquels on soustrait 16 ou 17 millions d’allochtones non-européens. Voir plus bas). Ajoutons que les uns sont plutôt jeunes (âge moyen de 28 ans) et les autres plutôt âgés (âge moyen, incluant les populations immigrées, de 42 ans).

Au contraire des Autochtones européens de France, les élites algériennes (mais aussi une bonne partie de la population algérienne), ont bien « compris », changement de perception, ce que signifiait cette évolution des rapports de force démographiques. De fait, ce changement de perception change aussi les psychologies et a tendance à radicaliser la politique algérienne envers la France. La conscience d’une réalisation inéluctable et imminente de la prédiction du président Houari Boumediene (« le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » - discours à l’ONU, 1974), donne à l’Algérie une inclination narcissique et une surestimation d’elle-même qui la pousse dangereusement à voir la France comme une proie qui est désormais à sa portée.

 

- Autre conséquence de la démographie algérienne : l’émigration en France ! L’immigration est le principal facteur qui structure notre hypothèse. Selon le président algérien Abdelmadijd Tebboune (2020), il y aurait en France 6 millions de personnes d’origine algérienne «qui, dit-il, peuvent beaucoup et pour la France et pour l'Algérie".  Le sous-entendu est inquiétant : que pourraient faire pour l’Algérie, ces millions d’Algériens installés en France ?

L’association DARE, Diaspora des Algériens résidant à l’étranger, estime quant à elle qu’il y a 7 millions d’Algériens ou de Franco-algériens en France. Elle nous apprend que cette diaspora algérienne n’a pas totalement rompu ses liens d’allégeance envers l’Algérie puisqu’elle nomme des députés au Parlement algérien.

Bref, l’Algérie a de nombreux ressortissants dans notre pays, qui sont plutôt jeunes et désœuvrés (41.7% des jeunes de plus de 15 ans sont au chômage ou inactifs - source), qui ont conservé des liens forts avec leur pays d’origine et qui ont été élevés pour beaucoup dans la haine de notre pays.

Mais la France ne compte pas seulement une immigration algérienne. Elle compte environ 25% d’allochtones non-européens, soit 16 ou 17 millions de personnes (c’est la part de marché que revendiquent les agences de marketing ethnique. Dans un article de 2011, la démographe Michèle Tribalat estimait qu’environ 30% de la population parmi les moins de 60 ans étaient d’origine étrangère. Si l’on soustrait les populations d’origine européenne mais que l’on ajoute les flux entre 2011 et 2023- environ 500 000 personnes par an, clandestins compris- le taux de 25% d’allochtones non-européens et donc de 51 millions d’autochtones européens, nous semble tout à fait plausible. A ce sujet, voir l’Observatoire de l’Immigration et de la démographie).

A l’évidence, ces millions d’allochtones, non intégrés pour la plupart, pourraient potentiellement représenter une 5e colonne. Une puissance étrangère qui saurait jouer des ressentiments et des frustrations de cette population pourrait facilement la manœuvrer. Mis en œuvre par les Etats-Unis, cela s’appelle une révolution de couleur.

 

- L’inversion démographique dont nous parlons se traduit également au niveau des forces armées : si nous faisons abstraction de la force de frappe nucléaire (que la France n’aura jamais le courage d’utiliser), la comparaison entre les forces conventionnelles des deux pays est bien loin de ce qu’elle était il y a 20 ans. On peut même se risquer à dire que dans certains domaines l’armé algérienne surclasse l’armée française.

A titre d’exemple, la France possède 200 chars de combats. Ce sont des chars Leclerc de troisième génération, mais seulement 160 d’entre eux seraient capables de servir dans l’immédiat. Ajoutons un peu plus de 6000 véhicules blindés (VAB, AMX, Griffon….) dont certains attendent toujours d’être livrés. L’Algérie possède quant à elle, selon Wikipédia : 572 chars de combat de troisième génération T90, mais aussi 550 char T72, 300 chars T62 et 375 chars T54/T55. Ajoutons 6461 véhicules blindés (BMP 1 et 2, GTK Boxer, Nimr….). 

Côté effectifs, l’armée française compte 205 000 militaires d’active dont 15,5% de femmes et 10 à 20% de musulmans selon une enquête menée par Christophe Bertossi de l’Institut français des relations internationales (IFRI) qui date déjà de… 2005 (combien en 2023 ?).  L’armée algérienne, quant à elle, dispose de 520 000 militaires d’active.

Certes, le nombre peut être compensé par la valeur. Mais je me pose des questions sur la valeur d’une force combattante qui dépend d’un Ministère des Armées qui se veut pleinement engagé contre la « haine anti LGBT », la sensibilisation des militaires au « changement de genre » et l’obtention du label « Diversité » (source).  

 

- Revenons à l’armée algérienne. Si vous doutez de ses capacités à mener, selon notre scénario, une action insurrectionnelle sur notre territoire, je vous conseille de lire attentivement La sale guerre, un livre de Habib Souaïdia. Celui-ci fut un officier des troupes spéciales algériennes durant la guerre civile (1991-2002). Vous comprendrez à la lecture de ce livre que l’armée algérienne possède une longue expérience (qui date sans doute de la guerre d’indépendance) en matière de subversion, de guerre psychologique, de guérilla appuyée sur des populations civiles, de clandestinité…. Elle est tout-à-fait en mesure  d’organiser des attentats terroristes sous faux drapeau, de s’associer à des réseaux mafieux qui y trouveront leur intérêt, de persuader, de rassembler, d’armer et d’organiser des civils, comme elle le fit durant la guerre civile avec « les Groupes de légitime défense – GLD », qui à coups d’embuscades, de tortures et de massacres « [semèrent] la mort et la désolation sur leur chemin ».

 

Intérêts géopolitiques et économiques, haine de la France, besoin de revanche, mépris des Français dévirilisés, population immigrée jeune et désœuvrée que l’ancien colonisateur a laissé s’installer sur son territoire,  savoir-faire dans le domaine insurrectionnel, tout cela associé à la faiblesse morale et démographique de la population française, à la disparition des forces vives de la France et, cerise sur le gâteau, à une armée française qui serait toute entière occupée hors de France, pourrait, pour l’Algérie, constituer une occasion historique de revanche !

L’Algérie n’aurait même pas besoin d’intervenir ouvertement. Quelques instructeurs, quelques officiers « démissionnaires » de leur armée pourraient facilement encadrer une masse de jeunes gens de toutes les origines rêvant d’en découdre avec la France.

Scénario plausible : un attentat (un seul ou plusieurs) tue des « jeunes » dans une cité Marseillaise. Cet attentat serait perpétré par les services algériens mais serait immédiatement attribué à « l’extrême droite » et aux « Français racistes», tant par l’Algérie que par le pouvoir macronien, qui y verrait un avantage politique et surtout une bonne façon de ne pas se fâcher avec l’Algérie. La tension monte artificiellement (les spécialistes en insurrection dépêchés par l’Algérie savent le faire, nos médias les aideront, nos politiciens aussi), les armes sortent des cités, d’autres arrivent par bateaux, des officiers algériens prépositionnés en France organisent alors des « Groupes de Légitime Défense ». Officiellement, l’Algérie n’est toujours pas impliquée. Peu à peu une force combattante de quelques milliers de volontaires apparaît dans les Bouches-du-Rhône.  N’oublions pas que c’est ainsi que l’Etat islamique a été structuré par les Etats-Unis : 5 000 hommes en 2011, 50 000 au plus fort de son activité, en 2015. Entretemps, cette organisation a pris un immense territoire et de nombreuses villes. Imaginez qu’un équivalent de Daesch apparaisse « spontanément » à Marseille ! Qui pour s’y opposer ?

Dans mon idée, si j’étais à la place de ceux qui auraient pour mission de mener cette stratégie révolutionnaire, je créerais des foyers insurrectionnels partout où se trouve une forte implantation allochtone. Cela disperserait et neutraliserait les quelques forces françaises en mesure de réagir. Autrement dit, plus rien ne pourrait s’opposer à ce qu’une armée de quelques milliers d’hommes, partant de Marseille et de sa région, remonte à une vitesse foudroyante la vallée du Rhône avec des 4X4 équipés, fasse sa jonction avec les Groupes de Légitime Défense de Lyon, et de là, après avoir nettoyé la ville, fonde sur Paris, qui serait déjà en flammes, pour mettre fin à la République.

Il va de soi que pour contenir une telle opération, la France devrait mobiliser sans tarder sa «Défense Opérationnelle du Territoire » (DOT). Celle-ci, condition indispensable, se devrait d’être opérationnelle immédiatement. Or, le général Vincent Desportes, qui envisage lui-aussi de graves « menaces internes » dans le cas d’un conflit extérieur qui mobilise notre armée, nous dit que cette Défense Opérationnelle du Territoire « n’existe plus en France suite aux choix faits il y a un quart de siècle » !  Aussi, pour que nos « forces expéditionnaires gagnent la bataille de l’avant sans que celle de l’arrière soit automatiquement perdue » », le général propose le rétablissement d’un service militaire volontaire qui fournirait un contingent susceptible de traiter la menace interne que représenterait  « une 5e colonne dont on aurait tort d’affirmer l’impossible émergence » ! La solution retenue par le général Desportes est certes pertinente, mais inutile de préciser qu’elle n’est pas à l’ordre du jour de nos têtes pensantes. D’ici que celle-ci leur vienne à l’esprit, notre armée islamique sous direction algérienne aura dépassé la Belgique !

En résumé, selon ce que j’en pense, notre pays a potentiellement une 5e colonne « dormante ». Celle-ci, pleine de haine et de ressentiment à notre égard, peut facilement rassembler plusieurs milliers d’hommes. Dans le contexte de la troisième guerre mondiale et du basculement de l’Algérie dans le camp multipolaire représenté par la Russie, ce pays, l’Algérie, qui depuis des décennies attend l’occasion de se venger de la France pourrait activer cette 5e colonne et constituer ainsi l’élément déclencheur de la guerre civile (ou plutôt de la guerre intérieure).  L’idée de constituer des contingents de volontaires autochtones pour tuer dans l’œuf cette menace insurrectionnelle, à condition que ces volontaires soient convenablement entraînés, équipés et encadrés, est sans doute la meilleure qui soit.

Ceci dit, la vraie question n’est pas de savoir si notre « élite » au pouvoir envisage la création d’une DOT pouvant conjurer la menace insurrectionnelle d’une 5e colonne (elle n’a même pas conscience de cette menace !). La vraie question est celle-ci : à quel moment du processus insurrectionnel cette « élite » deviendra-t-elle une composante de la 5e colonne ?  

Relisez Soumission de Houellebecq !

Antonin Campana

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N
Bravo pour cet article étayé. J'en suis retourné, cela fait des mois que je n'avais pas lu d'analyse aussi pertinente. Oui je suis retourné car je connais depuis des années les prophéties de La Fraudais. Celles-ci décrivent la guerre civile qui attend la France, et notamment la prise de pouvoir de l'extrême gauche. Le contexte est une guerre avec une attaque des russes et des arabes. Je n'avais jamais compris. Les russes pourquoi pas, mais les maghrébins pourquoi, alors que Poutine promettait de "buter les tchétchènes jusque dans les chiottes" ?? La Russie, c'est devenu évident depuis 1 an (en passant, même si Poutine n'est pas notre sauveur ou ami, il nous a tout de même libéré du narratif covid). L'Algerie..je viens de comprendre pourquoi et comment ils s'allieraient aux Russes grâce à votre article. Merci. La question pour moi n'est pas "si" mais quand.
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P
La France, l’Europe les USA c’est terminé.<br /> Les khazars avaient 2 camps <br /> Trump /Russie/Chine<br /> Et Bidon Schwab Soros Merkel Macron.<br /> Ils se font la guerre pour prendre la direction.<br /> La chute de l’occident via Covid ,dette ,chute des économies et banques , est voulue pour qu’ils rachètent tout . <br /> Puis le plan BRICS rothchild ( cf redefininggod.com )entre en action : Brésil, Inde, Nigeria, Afrique du Sud, Russie Chine etc.<br /> Chine, Russie, Nigeria ont déjà la monnaie numérique de mise en esclavage et l’identité numérique qui y est reliée.<br /> La Chine avait des bases souterraines à la frontière US autorisees par Trudeau/Castro car ils ont financé sa campagne électorale, que les USA ont fait sauter l’an dernier. <br /> Ils tiennent tous les ports du Mexique et font entrer l’armement ( au moins 2 très gros missiles et des tanks cachés arrivés dans des bateaux déguisés en bateaux de croisière ou en bateaux de pêche géants.) <br /> Mais ils en ont encore 10 autres bases au Mexique, dont une à Delicias près de celle des Russes sous la montagne a st Gertrude. <br /> Ils utilisent les îles/ilets de Maria comme base d’instruction en espagnol et pour les plans des opérations de prise des villes et de leurs dirigeants. S’y trouvent aussi des Syriens, Iraniens, afghans, des Saoudiens, ( ceux où les US ont fait des coups d’Etats ???!!! ) . <br /> Ils ont financé et construit une autoroute qui mène à tijuana porte d’entrée aux USA. <br /> Et pareil au Venezuela. Cf beforeitsnews <br /> Donc l’occident et les BRICS trop confiants sont cuits.
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P
Déjà si on rendait officiel les sommes : <br /> des retraités de centenaires éternels payées au Algériens là bas sans devoir justifier de 6 mois par an sur le sol Français<br /> Et des aides de l’Etat faites a l’Etat Algérien chaque année<br /> Sans compéter les bourses pour les 38 000 étudiants Algériens en France.<br /> En additionnant <br /> Le vilain colonisateur est surtout une manne financière.
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K
Bonjour<br /> Si votre scénario se réalise il faudra mettre en partique la stratégie de mao pendant la guerre civile Chinoise.<br /> Laissé les allochtones dans les villes et les autochtones tenir la campagne.<br /> Je ne doute pas que de l'apport important de mineraux à sucer du béton, je doute pourtant qu'à long terme se soit bénéfique pour la santé.<br /> <br /> Puis quand la ville est affaiblie, la reconquérir.
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L
Quid du lobby le plus puissant qui contrôle l'occident depuis des décennies ?<br /> Laissera t-il des islamistes gouverner la France ?
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