Août 2016 : un « camp d’été » est interdit aux Blancs à Reims ;
Juillet 2017 : un « festival » est interdit aux Blancs dans le XIe arrondissement de Paris ;
Août 2017 : un « camp décolonial » est interdit aux Blancs. Il se tient dans un « lieu confidentiel » ;
Décembre 2017 : un atelier de « non mixité raciale », organisé par Sud-Education 93, est interdit aux Blancs en Seine-Saint-Denis ;
Mars 2021 : l’UNEF avoue organiser des réunions interdites aux Blancs ;
Mars 2021 : en toute innocence, comme si la chose était naturelle, la journaliste Audrey Pulvar veut bien qu’on ouvre les réunions racisées aux Blancs, mais à condition qu’ils « se taisent »…
Ces festivals, camps d’été, réunions, ateliers… qui s’enchaînent depuis plusieurs années manifestent un racisme décomplexé, un racisme assumé, un racisme revendiqué. On pourrait penser que les réactions sont en proportion du scandale. Faisons le bilan : combien de plaintes venues de ligues antiracistes ? Combien de manifestations contre le racisme ? Combien de convocations à la 17e Chambre correctionnelle de Paris ? Combien de condamnations ? Combien de dissolutions ?
Vous connaissez la réponse : aucune !
Vous en voulez encore ?
Puisqu’on parle de l’UNEF, citons les propos et les tweets de Afsa Aksar, alors vice-présidente de ce syndicat étudiant (elle est aujourd’hui secrétaire générale de la Fédération syndicale étudiante):
« On devrait gazer tout (sic) les blancs cette sous race » ;
« Tout ce que j’ai à dire c’est les blancs arrêtez de vous reproduire » :
« Non à la mixité avec les blancs » ;
« Je suis une extrémiste anti-blanc » ;
« Le monde serait bien mieux sans les blancs » ;
Et Lors de l’incendie de Notre-Dame : « Les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vous aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. »… « Je m’en fiche de Notre-Dame, car je m’en fiche de l’histoire de France. »
Alors, les paris sont ouverts : combien de plaintes ? Combien d’amendes ? Combien de jours de prison ?
Vous connaissez la réponse.
Mais il y a plus grave : depuis des années, bien que cette pratique des « réunions interdites aux Blancs » soit connue de tous, l’Etat verse tous les ans à l’UNEF des centaines de milliers d’Euros (458 850€ en 2019 selon le ministère de l’Enseignement supérieur ; 630 000€ selon le député Eric Diard) ! On en fait des réunions interdites aux Blancs avec de telles sommes !
Tout cela signifie quoi ?
Cela signifie que le Pouvoir, que la République et que l’Etat républicain lui-même sont complices : « qui ne dit rien consent » ! Qu’on y réfléchisse : le pouvoir d’Etat subventionne des gens qui interdisent des réunions aux Blancs dans le même temps où il dissout l’association Génération Identitaire qui s’oppose à la submersion migratoire. Vous n’en tirez aucune conclusion ?
Quand le président du régime en place (Macron) dénonce l’existence d’un « privilège blanc », d’un privilège de l’ « homme blanc » par rapport à l’ « homme asiatique, noir ou maghrébin » (l’Express 22 décembre 2020), vous ne pressentez pas la politique d’Etat qui se profile à l’horizon ?
Quand une Houaria Bouteldja déclare, sans être contredite par le pouvoir d’Etat, que le « poids démographique » des allochtones « africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée », vous n’entendez aucune menace pour votre avenir ?
Quand une Audrey Pulvar affiche, sans jamais risquer l’interdiction d’antenne ou la moindre poursuite judiciaire, son désir de limiter la liberté d’expression des Blancs, vous n’avez pas l’impression que les médias, la Justice et le pouvoir républicain font objectivement système contre nous ?
Quand un Bernard Tapie fait état de sa trahison auprès de ses agresseurs allochtones (« je vous ai toujours défendu, j’ai toujours pris votre parti ») et que ceux-ci lui répondent « va te faire enculer, ce temps là est mort ! », vous ne comprenez pas que même la soumission ne vous protégera pas ?
Les choses ne sont pas assez claires ? On vous interdit certains lieux, on veut limiter votre accès à certains emplois, on vous avilit quotidiennement, on vous agresse dans la rue, on se propose de vous faire taire, en toute impunité certains voudraient même vous gazer : que vous faut-il de plus ? Vous voulez savoir ce que sera la vie de vos enfants si vous ne faites rien ? Ce sera l’Afrique du Sud, mais en pire : ils ne pourront même pas émigrer pour sauver leur peau !
L’Etat républicain fait entrer près de 500 000 immigrés par an. Vous pensez vraiment que le règne de la machette et du meurtre légal ne commencera pas avant plusieurs générations ?
Quand vos enfants et vos petits-enfants vous diront « qu’as-tu fait pour nous éviter ça ? », que répondrez-vous ? Que vous ne saviez pas ?
Nous n’avons pas de solution miracle. Nous sommes quelques uns à chercher un « passage ». Ce que nous faisons personne ne l’a fait, personne n’a même tenté de le faire. Peut-être échouerons-nous. Peu importe, nous apprendrons de nos échecs. Mais nous agissons et de ce fait au-moins nous existons. A quoi cela sert-il de ressasser passivement la réalité anxiogène. Y-a-t-il quelque chose que le lecteur ignore encore ? Sommes-nous à ce point mentalement enchaîné que nous ne pouvons rien faire ? Chacun le sait : seule l’action pourra infléchir cette réalité ou tout au moins pourra faire en sorte que nous ne la subissions pas totalement. Lisez-nous : on ne propose pas de « prendre le Capitole », on propose pacifiquement un outil qui permettra de construire l’outil qui rendra possible le Grand Rassemblement autochtone. Quelle autre solution, en effet, que de nous rassembler et de nous organiser sur une base nationale-autochtone ?
En deux mots, pour résumer notre démarche, nous faisons pour commencer de l’influence sur les réseaux sociaux. Il s’agit de provoquer une dynamique autochtoniste de rassemblement. L’objectif est de constituer à terme, le plus vite possible, une société parallèle autochtone dotée de ses propres instances représentatives, une société en capacité de résister aux agressions et aux mécanismes de dilution, voire une société disposée à reconquérir son droit sur ses terres ancestrales.
Alors :
Si vous pensez que le Grand Rassemblement autochtone est la solution ou même une partie de la solution, et si vous voulez rejoindre notre réseau d’influence :
Manifestez-vous ici : http://www.autochtonisme.com/contact
Nous n’avons besoin que d’une adresse mail, que vous pouvez créer spécialement, un numéro de département et un prénom qui feront office de pseudo. Un Influenceur vous contactera.
Si vous voulez simplement rejoindre une communauté autochtone qui se formerait près de chez vous, faites la même démarche en nous le précisant. On vous contactera lorsqu’il sera l’heure : http://www.autochtonisme.com/contact
Pour plus de précisions sur notre démarche globale, lisez ce petit PDF :
https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/47/59/20190912/ob_d78f31_grand-remplacement-que-faire.pdf
Nous sommes déjà quelques-uns, nous avançons dans le noir, nous faisons un pari et nous ne promettons rien. Tout dépend de votre engagement.
Au moins essayer !
Antonin Campana