Notre peuple fera-t-il sécession avant qu’il ne soit trop tard ?
Les « élites » ont depuis longtemps fait sécession. Sécession du peuple qu’elles contrôlent, exploitent et méprisent.
L’Etat a fait sécession. Sécession du peuple autochtone pour servir la bouillabaisse humaine multiethnique et artificielle, dite « peuple français ».
L’économie a fait sécession. Sécession des intérêts nationaux au nom des intérêts globaux.
Les médias ont fait sécession. Sécession des faits au nom de l’idéologie.
Le politique a fait sécession. Sécession de la démocratie, au nom des Maîtres.
Même le sanitaire a aujourd’hui fait sécession. Sécession de la réalité (épidémique) !
Notre peuple a perdu son droit à l’’existence avec la révolution « française ». Depuis, le régime en place n’a cessé de disloquer notre peuple pour le ramener à un tas d’individus dissociés. Puis ce régime a entrepris de mélanger ce tas avec d’autres tas d’individus venus d’autres cultures et d’autres races. On a vite compris que le régime faisait disparaître le tas originel, et qu’il le remplaçait par un tas artificiel qui n’était en fait qu’un résumé du monde.
Des « libertés fondamentales » étaient cependant consenties… dans la mesure, bien sûr, où celles-ci ne nuisaient pas au processus de dissociation du peuple autochtone et de fabrication du peuple artificiel. Jusqu’à présent le régime (ou le Système si l’on préfère), s’attaquait au(x) peuple(s) mais laissait plus ou moins tranquille les individus. Ce n’est plus du tout vrai aujourd’hui.
A l’occasion de la crise sanitaire, une dictature qui s’assume ouvertement, très « soviétique » dans les faits, s’est installée. Ainsi, nous avons perdu l’essentiel de nos libertés individuelles : notre liberté de circulation, notre liberté d’expression, notre liberté de réunion, notre liberté économique, notre liberté de prescrire (pour les médecins), notre droit au respect de la sphère privée, notre droit à la pratique du culte, notre droit à enterrer nos morts dignement, notre droit au mariage… Certaines de ces libertés reviendront peut-être, mais en partie seulement. C’est une loi politique : un Etat ne redonne jamais facilement les libertés qu’il a réussi à supprimer.
On nous dit déjà que cette dictature assumée s’étendra sur plusieurs années. Que plus rien ne sera comme avant. C’est d’autant plus grave que la comédie sanitaire se joue sur fond d’effondrement de tout. Car comment ignorer la crise économique gigantesque ; la raréfaction des ressources énergétiques ; l’accroissement hyperinflationiste de la masse monétaire ; la décroissance générale ; l’endettement généralisé ; la désindustrialisation en phase terminale ; la faillite des petites entreprises ; etc. ?
Ajoutons à cela un monde occidental peuplé de populations hétérogènes qui n’attendent qu’une occasion pour s’étriper joyeusement ; des tensions sociales qui iront croissantes sitôt que les banques centrales siffleront la fin des aides ; une submersion migratoire qui s’accentue inexorablement (avec dispersion des nouveaux arrivants dans nos campagnes) ; des zones de non-droit ou de droit islamique qui font régner une insécurité exponentielle ; un Great Reset qui se fera sur fond de restrictions, y compris sans doute alimentaires…
Et puis, il y a ce coup d’Etat aux Etats-Unis. Il montre à tous ceux qui avaient encore quelques illusions sur les systèmes « démocratiques » occidentaux que ceux-ci se nourrissent de corruptions, de bassesses et de lâchetés. Espérer encore, après le 03 novembre, que de cette boue puante sortent des personnalités providentielles attachées aux peuples, ne relève plus de la naïveté mais de la sottise.
Analysons rapidement ce qu’il s’est passé. Traditionnellement, en « démocratie », la fraude électorale s’effectue en amont de l’élection. La fraude est l’affaire des médias qui manipulent les esprits et fabriquent les intentions de vote en faveur des candidas-Système. Ce type de fraude électorale a cependant montré ses limites entre 2016 et 2018. Durant cette période, les faits ont eu plus d’influence sur les électorats que leurs représentations falsifiées par les médias : Trump a été élu président des Etats-Unis, les Britanniques ont gagné le référendum sur le Brexit, avant que Salvini ne remporte les élections en Italie. Bref, pour parler trivialement, le Système « s’est fait avoir ». Avec l’élection américaine du 03 novembre le Système « remet les pendules à l’heure ». Comment ? De la manière la plus classique qui soit : par le bourrage (électronique) des urnes. Le fait significatif est que cela s’est produit à la vue de tous ceux qui voulaient un tant soit peu se donner la peine de voir. Tout le processus de fraude a reposé sur la collusion entre les médias occidentaux (chargés de nier la fraude), les juges (chargés de ne pas statuer sur la fraude), les GAFA (chargés de censurer ceux qui dénonçaient la fraude) et les institutions (chargées de valider la fraude)… Cette fraude est une fraude systémique dont toutes les pièces et toutes les preuves ont été clairement exposées par les avocats de Trump. Et pour cause : la fraude cherchait à peine à se cacher ! Elle était monumentale, systématique, presqu’industrielle. Bref : elle était « visible ». Tous ceux qui voulaient en connaître les différents aspects le pouvaient donc facilement, pour peu bien sûr qu’ils fassent l’effort et ne s’en tiennent pas paresseusement à la narrative des médias !
Cette visibilité de la fraude est selon nous, plus que l’élection frauduleuse de Biden, l’élément fondamental de cet épisode. Nous l’avons déjà dit : le Système ne se donne même plus la peine de cacher son caractère dictatorial. Il affirme son pouvoir anti-démocratique en toute transparence. Autrement dit, que ce soit aux Etats-Unis ou ailleurs, il est probable que nous soyons sortis de l’ère du simulacre démocratique pour entrer dans celle du totalitarisme assumé. Ceux qui ne voyaient pas (ou qui se refusaient à voir) la fiction démocratique devront ouvrir les yeux sur les nouvelles réalités totalitaires. Bien entendu, les esclaves pourront toujours se persuader, le Système les aidera, que leurs chaînes sont aussi nécessaires au bien commun que leur masque ou leur isolement social. Dans les faits, la démocratie sera ouvertement piétinée et le Système signifiera crûment que le destin des peuples lui appartient. Autrement dit, s’il a été possible de se nourrir d’illusions, c’est désormais impossible. A l’heure des choix existentiels, se mentir n’est plus une option. Ceux qui croient encore que des élections-Système pourront contrecarrer le projet oligarchique de destruction des peuples ont aliéné leur raison et leur liberté de penser. Ils ne comptent plus.
Tout cela pour dire quoi ? Le peuple autochtone devra, qu’il le veuille ou pas, faire sécession de la nation Frankenstein qui le dissout. C’est une question de vie ou de mort. Le peuple autochtone devra faire sécession de l’Etat qui le nie et qui le premier s’est séparé de lui : la police n’est pas notre police, l’armée n’est pas notre armée, l’école n’est pas notre école, les représentants du peuple ne sont pas les représentants de notre peuple, leurs lois ne sont pas nos lois, leur simulacre de démocratie n’est pas notre espérance démocratique… L’Etat est notre ennemi ! Ou plutôt, il n’est qu’un instrument entre les mains de nos ennemis. Cessons de nous comporter comme des êtres domestiqués et des soumis. Refusons leurs règles du jeu. Jouons selon nos propres règles, entre nous pour commencer, avant de les proposer à tous.
Les années qui viennent vont être terribles. 2021 ne sera pas une année joyeuse et 2022 sera encore pire. Nul besoin d’être un grand prophète pour comprendre maintenant qu’une catastrophe d’ampleur biblique s’annonce. Le Système va nous étriller avant de se faire lui-même étriller. Il est peut-être encore temps de fabriquer une arche pour notre peuple. Il est peut-être encore temps d’organiser notre sécession !
Il faut se préparer !
Antonin Campana