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Terre Autochtone

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Le blog des aborigènes d'Europe, par Antonin Campana


Génocide du peuple européen : des « Fleuves de sang » !

Publié par Antonin Campana sur 15 Janvier 2016, 17:49pm

Catégories : #Antijaphétisme

Génocide du peuple européen : des « Fleuves de sang » !

[Le projet de génocide du peuple européen par le métissage a été pensé dès les années 1920. Il a été méthodiquement réalisé à partir des années 1960. Nous joignons (vidéos ci-dessous) un reportage de la BBC  qui montre que le Système a utilisé toute sa puissance pour faire taire les lanceurs d’alertes, tels Enoch Powell, pourtant Secrétaire d’Etat à la Défense du gouvernement britannique (1968)]

Dans l’Histoire certains événements sont fortuits et imprévisibles. D’autres sont le fruit d’un enchaînement parfois tragique de facteurs que personne ne maîtrise vraiment. D’autres encore, les plus nombreux sans doute, proviennent de la volonté des hommes… ou de certains hommes seulement. Le génocide du peuple européen par le métissage est sans doute de ceux-là.

Nous avons montré, dans un autre article, que le métissage en question tenait une place central dans le projet d’un Coudenhove-Kalergi (voir notre article sur ce personnage), père spirituel de l’Union européenne et maître à penser des Juncker, Merkel ou Van Rompuy. Il s’agissait, pour cette figure de l’européisme militant, de créer une « race de métis » (sic) sans volonté, inconstante et facilement manipulable, qui serait, dans une société non démocratique, sous la domination totale d’une oligarchie transnationale. Coudenhove-Kalergi écrit Paneuropa, un ouvrage assez pauvre qui n’apporte rien de véritablement nouveau, alors qu’il n’a que 29 ans. Comme par magie, un Aristide Briand, ministre et Prix Nobel, un Joseph Caillaux (ancien Président du Conseil), un Paul Painlevé (ministre de la guerre), un Léo Amery (ministre anglais des colonies), un Benes (futur Président de la république tchèque), un Paul Loebe (Président du Reichstag), un Seipel (Chancelier fédéral d’Autriche), un Albert Thomas (Directeur du B.I.T.), un Edouard Herriot (ministre), etc… préfacent de quelques lignes édifiantes l’édition française de l’ouvrage. A l’évidence Kalergi sait convaincre, à moins qu’il ne soit simplement le mandaté d’un puissant réseau aux ramifications internationales…

Dès cette époque les amis de Kalergi ne sont pas inactifs dans la réalisation du grand œuvre de transmutation de l’Européen en métis (ce que d’aucuns nomment le « plan Kalergi »). Albert Thomas préface des livres sur l’immigration en France et préconise la fraternisation des travailleurs de toutes nationalités ;  Herriot demande à la Chambre le financement d’un Institut musulman et d’une mosquée à Paris (1920) ; Briand se targue d’être à l’origine de la Grande Mosquée (1925)…. « Ils ne savaient pas », n’est-ce pas ? Peut-être même n’avaient-ils pas lu Kalergi ? D’autres « savaient » pourtant, Maurras  par exemple (qui ne connaissait sans doute par Kalergi mais qui avait du nez). Relisons ce que celui-ci disait sur cette grande mosquée (Action française, 13 juin 1926) :

    « …nous sommes en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon (…).  Il n’y a peut être pas de réveil de l’islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve être la plus vaine des choses. Mais si il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la Chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus d’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir (…). La construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets et nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse (…).  J’aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J’entends, je lis telles déclarations sur l’égalité des cultes et sur les races. On sera sage de ne pas les laisser se propager, trop loin d’ici, par des hauts parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère. Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès.  Fasse le Ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu (…) » (c’est nous qui soulignons).

Comme on le voit, l’invasion migratoire a été imaginée dès les années 1920. Des destructeurs de peuples y travaillent avec méthode dès cette époque. Et des Gardiens tirent déjà la sonnette d’alarme !

Il y a encore aujourd’hui des gens qui pensent que le déversement de masses humaines gigantesques en Europe, événement capital de notre histoire, est le fruit du hasard ou de quelque nécessité indépendante d’une orchestration consciente. Nous leur soumettons ce petit reportage de la BBC (ci-dessous), sous-titré en français, qui parle des « prophéties » d’un homme politique anglais très connu, pressenti pour être premier ministre de son pays : Enoch Powell. Powell est un « Gardien ». Si nos peuples survivent à cette époque obscure, des places et des avenues porteront son nom. Le 20 avril 1968, il prévint dans un discours resté célèbre (le discours des Fleuve de sang) que l’arrivée de «50 000 » immigrés tous les ans était une folie qui entraînerait la violence, la guerre civile et la dislocation du pays. Non seulement on ne tint pas compte de l’avertissement mais le Système fit limoger Powell le lendemain de son discours (il était Secrétaire d’Etat à la Défense) et une violente campagne de haine fut déclenchée par les médias, les politiciens de tous bords, les étudiants (des fils de bonnes familles dont les papas exploitaient des immigrés à bas coût), jusqu’aux Beatles qui sortirent contre Powell l’un de leurs titres les plus célèbres (Get back vendu à plus de deux millions d’exemplaires). Powell fut exclu de la vie politique britannique et le projet de métissage de la société s’accéléra dans les années qui suivirent. Le reportage signale, quarante ans après le discours de Powell, que ce n’est plus 50 000  immigrés qui arrivent chaque année en Grande-Bretagne, mais 300 000 ! Violences, émeutes, viols, attentats à la clé ! Powell ne s’était pas trompé (les politiciens qui l’ont ostracisé, eux, « ne savaient pas » : voyez absolument ce reportage, ci-dessous !).

Je me souviens d’un autre lanceur d’alertes, stigmatisé lui-aussi par le Système* (* = Glossaire), qui au début des années 1980 avait dit dans ma ville, je cite de mémoire : « Le problème de l’immigration ne sera pas réglé sans quelques larmes... si on le règle avant l’an 2000.  Après cette date, il faudra envisager, je le crains, non plus des larmes mais du sang ! ». Ce lanceur d’alerte s’appelait Jean-Marie Le Pen.

Antonin Campana

 

Nb : Le propos "dans 15 à 20 ans les Noirs domineront les Blancs" n'est pas de Powell comme le laisse croire dans ce reportage : Powell lit une lettre écrite par un de ses électeurs...

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Remarquable !
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