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Terre Autochtone

Terre Autochtone

Le blog des aborigènes d'Europe, par Antonin Campana


Et maintenant ?

Publié par Antonin Campana sur 8 Mai 2017, 06:20am

Catégories : #Perspectives Autochtones, #Les joies de la nation Frankenstein

Et maintenant ?

Et une de plus, une : encore une élection de perdue !

Quand verrons-nous que les dés sont pipés depuis des décennies et qu’aucun candidat anti-immigration, donc hors Système, ne parviendra au pouvoir par des élections ? Nous faut-il attendre les prochaines Législatives, puis les Municipales de 2020, puis les Régionales de 2021, voire les Présidentielles de 2022… et pourquoi pas celle de 2027 ou 2032 pour, saturés de déceptions, enfin « comprendre » ?

Nous sommes des ânes qui poursuivons une carotte électorale qui recule au fur et à mesure que nous avançons. Combien de défaites devrons-nous encore encaisser avant de nous en apercevoir ? Le problème, c’est que le temps ne travaille pas pour nous. Selon toute vraisemblance, les Autochtones européens de France seront démographiquement minoritaires sur leurs terres ancestrales entre 2040 (selon le géopolitologue Aymeric Chauprade, Chronique du choc des civilisations, Dargaud, 2009, page 58) et 2050 (selon le démographe Jean-Paul Gourévitch, Les Africains de France, Acropole 2009).

Et 2040, c’est dans 23 ans ! C’est demain ! C’est maintenant ! Sans compter qu’avec Macron, faisons-lui confiance (l’oligarchie l’a nommé tout exprès !), le processus de Grand Remplacement va s’accélérer.

Autrement dit, nous risquons d’être minoritaires d’ici quatre ou cinq élections présidentielles, sachant que, comme nous l’avons montré, des Allochtones « intelligents » peuvent prendre « démocratiquement » le pouvoir dès lors que les étrangers constituent environ 30 à 35 % de la population (ce qui devrait être le cas, à la louche, pour les élections présidentielles de 2032).

Pensez-vous que se mobiliser pour des Législatives (que nous perdrons), puis encore pour des Présidentielles (que nous perdrons aussi), puis à nouveau pour des Législatives (que nous perdrons encore) soit la meilleure chose à faire pour assurer un avenir à nos enfants ?

Nous sommes des ânes car nous voulons ignorer que la carotte est au bout d’un bâton que tient le régime politique en place sur notre dos. Plutôt que d’aller docilement où la République nous mène avec sa carotte électorale et son bâton judiciaire, c’est-à-dire droit vers un Grand Remplacement conforme à son idéologie profonde, ne serait-il pas plus profitable de se décharger du poids inutile que nous portons ?

Car en quoi la République nous est-elle utile ? N’est-ce pas elle qui nous a noyés dans une soupe multiculturelle qu’elle touille dans le « creuset » qu’elle a fabriquée ? En quoi ce qui tue peut-il être utile à ce qui est tué ?

A contrario, le peuple autochtone de ce pays est, lui, indispensable au régime politique qui l’opprime. C’est par son sang que les « valeurs universelles de la République » se sont répandues en Europe et dans le monde, donnant naissance au « Système ». C’est par l’utilisation nocive de son énergie que la République peut construire le modèle de société qui le déstructure. Combien de temps durerait la paix sociale et le mythe du « vivre ensemble » si les Autochtones enfin rassemblés refusaient de payer leurs impôts ou de se rendre à leur travail ?

La République nous doit tout et nous ne lui devons rien ! Sans les Autochtones de souche européenne, la République ne serait qu’une parcelle de néant. Or, elle ne nous respecte pas et nie notre droit à l’existence en tant que peuple, dans le même temps où ses représentants se prosternent auprès du CRIF, du CRAN ou du CFCM !

La République est un régime politique profondément hostile au peuple autochtone. Il faut cesser de faire semblant de croire que la République est la France : la République s’est emparée (par la violence) de notre pays, lui suce son sang et y fait ses expériences sociales. Il est temps, avant qu’il ne soit trop tard, de libérer la France.

Pour cela il faut siffler la fin de la partie. Il faut signifier que nous ne jouerons plus selon les règles imposées par le régime politique illégitime. Car ces règles, on le voit, ont mené notre peuple au bord du gouffre. Continuer à les respecter serait suicidaire. « Le bon général, écrit Sun Tzu, ne livre combat sur les terres mortelles ». Or depuis trop longtemps, les meilleurs d’entre nous mènent un combat sur des terres que le régime politique en place nous a rendues « mortelles ». Le bon sens commande d’entraîner la République sur le terrain que nous aurons nous-mêmes choisi pour y mener un combat dont nous aurons nous-mêmes défini les règles.

La République est puissante parce que nous n’osons pas voir qu’elle est nue. Sa « Liberté », c’est du vent. Son « Egalité », c’est un amoindrissement. Sa « Fraternité », c’est le génocide des phratries. Le premier acte libérateur est de voir la République pour ce qu’elle est vraiment : un régime politique totalitaire qui repose sur le mythe d’une nation réduite à un « corps d’associés » multiethnique. Le second acte libérateur est de faire sécession de ce « corps d’associés » sans avenir, mais potentiellement hostile.

La sécession doit être intellectuelle, psychologique et morale. Elle doit être aussi politique. Elle doit être le fruit d’une prise de conscience individuelle mais aussi d’une démarche collective. La République ne veut pas de nous : nous ne voulons pas d’elle ! La République nous nie en tant que peuple : nous la nions en tant que système de gouvernement légitime !

Changer de terrain, c’est recréer un peuple dans le melting pot, c’est recréer une nation dans la société mondialisée, c’est faire un Etat dans l’Etat. Le peuple autochtone de ce pays peut et doit se doter de structures politiques, culturelles, associatives, financières, scolaires, de sécurité... Il doit se faire représenter par des instances autochtones élues. Il doit obtenir des droits collectifs qui le renforce et sécurise son avenir. Rien d’impossible dans tout cela (voyez les Kanaks en Nouvelle-Calédonie), rien de difficile non plus dès lors que nous aurons admis que nous sommes faibles de n’avoir pas compris que nous étions forts.

Désormais, la voie électorale étant bouchée ou inutile, les Autochtones devront soit accepter passivement leur disparition en tant que peuple, soit se regrouper pour se construire un avenir autonome. Il appartient aux personnalités connues et reconnues de la mouvance hors-Système de donner maintenant le signal du Grand Rassemblement.

Car le temps des espoirs électoraux insensés est maintenant terminé. Voici venu le temps des bâtisseurs de peuples !

Antonin Campana

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C
C'est trop tard, c'était la dernière élection possible où les français pouvaient reprendre le pouvoir.
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F
Je viens de vous poster un communiqué mais n'ai aucun message m'indiquant le bon envoi ou non du message.......
Répondre
A
Il vient de s'afficher
F
Merci pour votre réponse. Je relaye le dernier message de notre association "Des racines et des Elfes" :<br /> <br /> Bonjour à toutes et à tous,<br /> <br /> Par crainte de vous ennuyer, je ne me livrerai pas à l'exégèse de l'élection présidentielle que nous venons de vivre mais permettez moi d'en tirer deux enseignements qui me paraissent utiles pour ce qui concerne les objectifs de notre association et l'avenir.<br /> <br /> Une majorité toute relative de ceux qui, à défaut de compatriotes, demeurent nos concitoyens, a choisi de poursuivre son chemin sur la voie libérale-libertaire empruntée depuis des décennies par nos dirigeants successifs, celle qui mène immanquablement à la destruction de nos identités, de nos valeurs, de toute décence commune et, in fine, de notre civilisation. <br /> <br /> Néanmoins, une minorité importante, près de 11 millions de Français, a manifesté clairement son désaccord, refusant d'entendre le discours moralisateur pourtant unanimement relayé par les médias. Aujourd'hui, c'est sur ce socle important que tous nos efforts doivent porter.<br /> <br /> Depuis que nous avons démarré nos activités, il y a 8 ans déjà, nous ne cessons de le répéter : la voie politique est une impasse, au moins au niveau national. Faut-il pour autant baisser les bras, renoncer à défendre ce qui fait notre fierté et accepter de brader l'avenir de nos enfants ? Devons-nous laisser en déshérence les millions de Français et les dizaines de millions d'Européens qui ne se reconnaissent pas dans le discours lénifiant mais mortifère du vainqueur ?<br /> <br /> A l'évidence non ! Si le système qui nous encadre s'appuie sur la légitimité tirée des urnes, rien ne nous empêche d'utiliser tous les moyens à notre disposition pour répondre aux attentes, exprimées ou inconscientes, de ceux qui partagent nos craintes et nos espoirs.<br /> <br /> Le choix qui s'offre à nous est simple : nous incliner sagement devant le résultat en attendant une hypothétique revanche ou profiter de tout espace de liberté encore laissé ouvert pour bâtir, au sein de nos sociétés individualistes, une alternative qui fasse sens et permette à chacun de s'investir, au service du bien commun et des nobles idéaux de fraternité, de conservation et de transmission de notre identité, dans ce qu'on pourrait qualifier de sécession interne.<br /> <br /> Il est temps d'unir nos forces dans une démarche organisée et cohérente. Je vous invite à nous rejoindre les 3,4 et 5 juin à la maison des Elfes, en Bourgogne, pour proposer vos idées, vos projets concrets, pour discuter des actions exemplaires que nous pourrions mener auprès de ces millions d'Européens orphelins et isolés, qui ne demandent qu'à être entendus et rassemblés.<br /> <br /> Qui que vous soyez, responsable d'association, de médias, entrepreneur, simple compatriote désireux de s'investir positivement, vous êtes le bienvenu.<br /> <br /> Des racines et des Elfes mettra toute son énergie à contribuer au nécessaire sursaut de notre peuple, globalement et localement, en s'appuyant sur sa base de la maison des Elfes. Nous accueillerons cet été toutes celles et ceux qui souhaitent se joindre à nous. Nous ferons l'impossible pour mettre en relation les bonnes volontés et que puissent se multiplier, partout, les indispensables projets de renaissance qui nous permettront de sauver l'essentiel. <br /> <br /> Pour cela, nous avons besoin de vous, de votre aide physique ou financière, de vos qualités de dirigeant, de vos idées, de votre enthousiasme. Nous ne pouvons plus nous contenter de déléguer nos responsabilités aux politiques. Il nous faut investir la société, l'irriguer de notre sève, en rebâtir les fondations en nous appuyant sur le meilleur du passé mais le regard tourné vers l'avenir.<br /> <br /> Soyez-en persuadés, l'espoir est de notre côté parce que nous savons ce que nous avons à perdre et pour qui nous nous battons. A nous de saisir toutes les opportunités, toutes les ouvertures, pour unir les millions de Français et d'Européens qui, moins impliqués que nous, n'attendent que notre élan de pionniers pour prendre leur destin en main.<br /> <br /> Je vous souhaite une bonne soirée, espérant vous retrouver nombreux en Bourgogne début juin.<br /> <br /> Cordialement,<br /> <br /> Olivier, porte-parole<br /> www.desracinesetdeselfes.com<br /> <br /> P.S. N'hésitez pas à partager le plus largement ce texte auprès de vos amis et lecteurs.
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F
"Il appartient aux personnalités connues et reconnues de la mouvance hors-Système de donner maintenant le signal du Grand Rassemblement."<br /> <br /> Etes-vous en rapport avec certains ? Lesquels d'entre eux peuvent être, selon vous, réceptifs à ce projet ?
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A
La réponse à la première question est oui... et quant à la seconde, il ne m'appartient pas de répondre en leur nom. L'idée fait son chemin, de toute manière il n'y a pas d'autre solution, tout le monde y viendra tôt ou tard (et mieux vaudra tôt que tard !)

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