Je ne vais pas revenir sur les faits et les chiffres qui sont exposés depuis plusieurs mois par les lanceurs d’alerte, les médecins non corrompus, les dissidents sanitairement incorrects (et aussi ce modeste blog, le lecteur pourra se reporter à nos précédents articles).
Allons directement à l’essentiel :
Big pharma, Big data, Big business, Big finance, avec la complicité de gouvernements corrompus, de médias de désinformation, de syndicats collabos, et de l’ensemble des rouages de l’Etat, tout au moins pour ce qui est des Etats occidentaux, font système de manière à exercer un contrôle total de la population, voire à réduire drastiquement celle-ci.
Ce qui va arriver dans les mois qui viennent apparaît très clairement et ne nous laisse aucun doute : « technologie embarquée » dans le corps de chacun (puçage), contrôle et traçage des personnes, fin de la vie privée, réification de l’humain et laisse électronique pour tous. Le Sénat « français » nous a exposé sans ambigüité la manière dont seront bientôt traités tous ceux qui n’auront pas succombés à un cancer, à un AVC, à une crise cardiaque ou à un nouveau « variant » (voyez ici) !
Bref, nous connaissons la suite.
La conclusion qui s’impose est qu’une caste oligarchique a déclaré une guerre totale à l’espèce humaine, à commencer par sa composante européenne et blanche. Cette guerre ne peut se terminer que par l’éradication de cette caste ou la disparition de l’humanité telle que nous la connaissons.
La plupart de ceux qui ont refusé les injections sont de fait entrés en dissidence. Peu importe leurs motivations, leurs idées politiques ou leurs croyances philosophiques : du point de vue de la Caste ces gens sont des réfractaires à éliminer. De notre point de vue, ils ne peuvent être que des Résistants à organiser.
En France, ces Résistants sont 5 ou 6 millions. Des doubles-doses qui refusent la troisième dose vont bientôt les rejoindre, ainsi que ceux qui refusent qu’on injecte leurs enfants. A terme, et en admettant que seulement 10% des Français injectés entrent à leur tour en dissidence, les Résistants pourraient être facilement une dizaine de millions. A ces millions de Français, il faut encore ajouter les Résistants des autres pays. Il va de soi que l’offensive de la Caste étant mondiale, la Résistance doit se penser elle-aussi au niveau planétaire.
Entrer en dissidence demande beaucoup de courage. Ceux qui font ce choix rejoignent en toute conscience un groupe bouc émissaire qui est traité de la manière la plus abjecte qui soit. La première conséquence est que pour eux plus rien ne sera comme avant : très vite, ils se sentiront différents et parfois même étrangers au milieu de leurs amis, de leur famille et dans leur travail, pour peu qu’ils aient réussi à conserver celui-ci. Ils se sentiront plus proche de gens qu’ils ne connaissaient pas auparavant mais qui partagent désormais le même vécu, que d’autres qu’ils avaient l’habitude de côtoyer mais qui se vautrent désormais dans le confort de l’obéissance. C’est ainsi que se forgent les communautés.
Un autre phénomène, de nature plus sociologique, est également à noter. Dès lors que les discriminations ont exclu les non vaccinés d’une socialité essentiellement dépendante de choses matérielles (les théâtres, les cinémas, les restaurants, les bars, les salles de sport, les discothèques, les centres commerciaux, les centres de loisirs, le monde du travail…), ceux-ci ont recréé une socialité plus authentique et moins artificialisée, fondée sur des relations personnelles directes ne nécessitant pas obligatoirement la médiation d’objets. Autrement dit, ils ont recréé du lien humain en rompant avec l’ancienne socialité matérialiste axée sur la consommation.
Les manifestations ont été le premier vecteur créateur de liens interpersonnels. Les gens se sont rencontrés, ont parlé, ont partagé leurs expériences et leurs difficultés, ont parfois même repoussé ensemble des groupes antifas, toujours prompts à servir leurs maîtres oligarchiques ! Ils se sont véritablement “retrouvés“.
Puis sont venus spontanément (je vous fais part de mon expérience) les « apéros no-pass », les soirées musicales et festives, les repas pris en commun et les premières réunions de combat d’où sont sortis des collectifs de résistance.
A l’heure où j’écris, des collectifs locaux existent dans de nombreuses régions. On en trouve pratiquement dans tous les départements. La plupart rassemblent fraternellement des gens de milieux très différents (certains d’entre eux sont dédiés plus spécifiquement à certaines catégories professionnelles, tels les soignants ou les artistes). Des « réseaux » de solidarité et d’entraide se sont également mis en place. Nous avons déjà parlé (ici) du réseau Solaris qui existe maintenant partout en France et dans une dizaine de pays. Citons également le collectif Réinfocovid, créé par des médecins, avec des collectifs locaux présents dans de nombreux départements, l’association « Rester Libre » créé par Eric Verhaeghe ou les « Groupes Résistance » de Florian Philippot. Sur le terrain économique, mentionnons le réseau ANIMAP qui regroupe plus de 7300 professionnels et commerçants refusant « l’apartheid vaccinal » ou le réseau Monnaie-libre » qui dispose de groupes locaux et d’un site d’annonces où peuvent s’échanger des biens et des services.
Même s’il ne faut pas idéaliser ces groupes et ces collectifs, ceux-ci représentent aujourd’hui la seule alternative réelle face au système à déconstruire l’humain. Je ne sais pas sur quoi leur action débouchera. Peut être sur rien du tout ! Tout dépendra de nous : serons-nous à la hauteur de la tâche à accomplir ? Aurons-nous la pugnacité nécessaire ? Serons-nous assez nombreux ? L’aventure se terminera-t-elle douloureusement dans quelques semaines ou quelques mois ? Je ne sais pas. Mais ce que je sais, c’est qu’en dehors de ces groupes et de ces collectifs, il n’y a rien. Alors il n’y a pas à se poser de questions : si un « monde d’après » encore libre est possible, alors cette possibilité dépend de la résistance qui se construit aujourd’hui autour de ces quelques ilots de réfractaires.
Florian Philippot voudrait l’« Union sacrée » de toutes les forces de résistance. Il a raison. Cette union, tout au moins selon l’expérience que j’en ai, existe déjà au sein des groupes dont je parle. Ceux-ci se sont constitués autour de la résistance à la tyrannie et transcendent par leur esprit toutes les anciennes appartenances politiques de leurs membres. Il s’agit maintenant de coordonner l’action de tous ces groupes de manière à en faire une force organisée susceptible de paralyser le Système et de renverser cette tyrannie pour bâtir un monde libre autour de nouvelles règles. Cette union sacrée doit s’étendre hors de nos frontières et doit avoir la liberté, celle des peuples comme celles des individus, comme point de convergence. Il s’agit du dernier combat, celui qui concerne l’avenir de l’humanité. Si nous le perdons, ce n’est pas seulement notre peuple qui disparaîtra, ce n’est pas seulement nos droits individuels qui seront définitivement supprimés : c’est l’humanité dans son ensemble qui sera à la fois amputée et réifiée ! Le combat est métaphysique. C’est un langage que je n’aime pas employer, mais la situation tragique que nous vivons lui correspond : c’est un combat contre les Ténèbres. Nous sommes à la fin du « Troisième Age ». Face à Sauron et aux armées du Mordor déferlant sur les Hommes, les peuples libres de la “Terre du Milieu“ doivent maintenant s’unir ! Nous n’avons plus le choix : le Quatrième Age verra soit la domination des Hommes soit celle des Artefacts.
C’est pourquoi j’appelle une nouvelle fois à entrer en dissidence. Que vous soyez vaccinés ou pas, dès lors que vous avez compris le combat métahistorique qui a déjà commencé, vous devez rejoindre la Résistance dans le monde réel, et plus seulement derrière des claviers. Qui que vous soyez, ne restez pas isolés chez vous, occupez votre position sur les lignes de défense. Jeune ou vieux, homme ou femme, il y a une place pour vous ! Passez outre vos différences : peu importe l’histoire de celui qui combat à vos côté, sachez que Sauron vous met dans le même sac et ne vous distingue pas. Une grande bataille s’annonce, il vous faut maintenant rejoindre le camp des Hommes ou subir demain la terrible loi du Mordor !
Comment prendre contact avec cette résistance ? Rien de plus simple : rejoignez un collectif ou un réseau quel qu’il soit. J’ai donné ci-dessus quelques liens, vous pouvez aussi prendre des contacts dans les manifestations avec des personnes déjà engagées. Il faut savoir que les collectifs de résistance ne sont pas étanches. Vous y rencontrerez sans doute des gens qui agissent dans plusieurs autres collectifs, ils vous aideront à trouver celui qui vous correspond le mieux. Apportez-y vos compétences, votre désir de libertés et votre différence.
Il y a un temps pour tout. L’année 2022 doit être celui de l’engagement.
Entrons maintenant en résistance !
Antonin Campana