L’effondrement est imminent, nous le savons, nous le voyons.
La « convergence des catastrophes », annoncée en son temps par le sociologue Guillaume Faye, est maintenant une réalité qui devient de plus en plus tangible.
A la catastrophe démographique et migratoire, s’ajoute désormais la catastrophe énergétique (pic pétrolier, pic gazier, pic charbonnier…), la catastrophe économique et financière (désindustrialisation, endettement, crise sociale, inflation…), la catastrophe sociétale (wokisme, féminisme, racisme antiblanc, islamisme…), la catastrophe sécuritaire (partition territoriale), la catastrophe climatique, la catastrophe sanitaire et sans doute, d’ici peu, la catastrophe vaccinale…
(NB : précisons ici qu’il importe peu que les catastrophes climatiques et sanitaires recouvrent, ou pas, la moindre réalité. Les acteurs produisant le discours sur le climat et sur la pandémie influent sur la société en cohérence avec leurs mensonges, si bien que le mensonge devient la réalité avec laquelle il faut compter. Par la puissance de la communication, le mensonge sur le réel a engendré un réel « vrai » : une société sous contrôle par exemple ou une économie à l’arrêt).
Quoi qu’il en soit, cette société arrive à son terme et n’ira pas plus loin. Cette convergence des catastrophes emportera tout, les sociétés comme les personnes. De plus en plus de gens le comprennent maintenant.
Ici il nous faut parler du réseau Solaris.
Solaris est un réseau d’entraide et de solidarité fondé le 26 septembre 2021 à Rennes le Château (Aude). Solaris part du constat qu’un effondrement politique, économique, social, climatique et géophysique, avec des services d’Etat potentiellement défaillant à 100%, va se produire d’ici peu. Son objectif est de rassembler et d’organiser en conséquence tous ceux qui entendent ne pas sombrer dans le chaos qui s’annonce. Preuve que le point de vue est pertinent et qu’il répond à une attente, deux mois après sa fondation le réseau est déjà implanté dans 62 départements et 6 pays (France, Suisse, Belgique, Espagne, Tunisie, Québec) !
L’organisation est des plus simples. Solaris est structuré en cellules locales (à l’échelle du village, du quartier, d’un périmètre ne devant pas excéder 15 km). Chaque cellule a des coordinateurs qui sont en lien avec les cellules voisines ainsi qu’avec des coordinateurs départementaux. Les coordinateurs départementaux, quant à eux, sont en lien avec des coordinateurs nationaux. Chaque cellule est autonome et n’a de compte à rendre qu’à elle-même. Il n’y a pas de chefs, pas de hiérarchie, pas de structure de pouvoir, pas d’affiliation à des structures politiques ou religieuses, pas de déclaration en préfecture :
« L’Esprit SOLARIS, c’est laisser les égos au vestiaire pour s’unir dans un but commun supérieur : celui d’organiser avec rapidité et efficacité la résilience dans un contexte s’aggravant sur les plans, social, politique, économique, sanitaire, climatique et géophysique » (Solaris France).
Seule l’efficacité commande :
« Il convient d’aller vite et sereinement. Nous n’avons donc pas le temps de faire de l’administration : pas de compte-rendu de réunions, pas d’organisation lourde, rien qui puisse ralentir le développement de votre réseau SOLARIS »
L’objectif du réseau est d’aider ses membres en cas de situation dégradée. Il se peut que quelqu’un ait alors besoin, par exemple, d’une tronçonneuse, d’un mécanicien, d’une infirmière ou peut-être même d’un chirurgien. Il fera appel à sa cellule. Si la compétence ou l’objet recherché (ou quoi que ce soit d’autre) ne se trouve pas dans la cellule, les coordinateurs de la cellule feront une demande aux cellules voisines, voire aux coordinateurs départementaux qui au besoin pourront s’adresser aux coordinateurs nationaux. Pour prévenir l’éventualité d’un chaos en matière de communication (plus de téléphone, d’internet, de télévision…) le réseau Solaris départemental a commencé à se mailler de postes radio CB et de talkie-walkies.
Le réseau Solaris répond à toutes les questions que l’on peut se poser en matière de résilience. En faire partie, dans un esprit de solidarité et de bienveillance envers les autres membres, est un incontestable atout dans une situation dégradée. Cela n’empêche pas de se préparer également au niveau individuel et familial, en fonction de notre environnement actuel et de l’environnement que l’on anticipe dans un contexte d’effondrement.
Terre autochtone appelle donc ses lecteurs conscients à rejoindre le réseau Solaris. Pour cela rien de plus simple :
- Vous allez sur le site de Solaris France, ici : Solaris-France.org
- Vous vérifiez si Solaris existe dans votre département, ici, ou dans votre pays, ici
- Vous contactez les coordinateurs de votre département (ou de votre pays), soit par mail à leur adresse Proton, soit par Telegram (dans ce cas il vous faudra ouvrir un compte Telegram).
- Ici deux solutions : une cellule existe déjà au niveau de votre lieu de vie et un moyen de la contacter vous sera indiqué. Ou alors il n’existe pas de cellule dans votre environnement immédiat et il vous sera proposé d’en créer une.
NB : S’il n’y a pas de réseau Solaris sur votre département (ou votre pays), il faudra contacter Solaris France ( solaris.france@protonmail.com) qui vous aidera à en créer un.
Le réseau se développe très vite. Il nourrit, aux côtés des collectifs qui se mettent en place pour lutter contre la tyrannie sanitaire, une résilience qui est aussi une Résistance. Créer une cellule ou rejoindre une cellule revient à préparer le « monde d’après ». Le monde d’après l’effondrement de tout. Mais pas le monde de Klaus Schwab : le nôtre !
Antonin Campana