France, Italie, Autriche, Etats-Unis, Québec… partout et quasiment en même temps, un laissez-passer gouvernemental (“Green Pass“, “Pass santitaire“ ou “Certificat numérique“) devient obligatoire pour accéder à certains lieux, pratiquer certaines activités ou assister à certains évènements. Partout, ce laissez-passer nous est vendu comme une assurance d’un retour à une vie normale. Partout, ces restrictions de libertés se font au nom de la Liberté. A l’évidence, il s’agit d’une opération concertée.
Concertée à quel niveau ? Forcément, les instructions proviennent d’une entité qui surplombe les chefs d’Etat occidentaux, puisque, depuis un an et demi, ceux-ci agissent de concert sans s’être préalablement entendus (masques, confinements, vaccination, Pass…). Or, qu’est-ce qui aujourd’hui surplombe les chefs d’Etat si ce n’est l’oligarchie mondiale ? Le fait que des milliardaires soient en mesure d’envoyer pour leur bon plaisir des fusées dans l’espace, alors que des Etats parmi les plus importants n’en sont pas ou plus capables, donne une bonne idée de ce que doit être la puissance additionnée de cette oligarchie.
L’oligarchie contrôle les peuples occidentaux. Or, pour les contrôler, il leur a fallu les déconstruire. Nous avons déjà parlé de ce processus de déconstruction qui a consisté à les réduire à des additions d’individus « égaux » (interchangeables), des agrégats ou des foules. Le processus d’ingénierie sociale, qui va s’exporter dans tout le monde occidental, commence avec la révolution « française », se poursuit, après une brève parenthèse impériale et monarchique, dès le début de la IIIe République et se continue toujours de nos jours. L’objectif de l’ingénierie sociale en cours est de détruire l’ordre social traditionnel, qui unifie le peuple et en fait un tout supérieur à la somme de ses parties. Tout ce qui crée du lien est remis en cause ou détruit (les ordres, les communautés, l’Eglise, la famille, l’ordre sexué, la nation, la lignée, l’ethnie, la langue…). On comprend bien l’intérêt oligarchique de remplacer une société organique et homogène qui fonctionne mais que l’oligarchie ne peut contrôler par une société fragmentée qui ne fonctionne pas mais que l’oligarchie contrôlera facilement (divide et impera).
Avec la crise sanitaire (artificielle) nous commençons une nouvelle étape dans le processus de déconstruction. Désormais, l’oligarchie s’attaque aux individus eux-mêmes.
Réduire une société à une somme d’individus dissociés qu’on oppose entre eux n’est en effet pas suffisant pour s’assurer d’un contrôle social total. L’oligarchie est au sommet de la pyramide sociale. Son souci principal est d’y rester ! Or même un agrégat d’individu peut s’avérer dangereux. Finalement, entre un Bill Gates et la foule il n’y a guère que quelques gardes du corps, quelques mercenaires et quelques flics d’Etat, pour peu que ceux-ci ne rejoignent pas les émeutiers. Dans ses tripes, un Bill Gates sait que sa tête rencontrant une balle de 9 mm réagira comme celle de n’importe laquelle de ses victimes vaccinées.
Il faut comprendre que ces gens sont animés par la peur.
D’autre part, les oligarques savent que les contraintes actuelles en matière de ressources naturelles (pétrole, métaux, terres agricoles, etc..) sont de possibles déclencheurs de révoltes populaires, surtout dans le cadre d’une croissance démographique continue.
Enfin, les oligarques savent également que l’intelligence artificielle prédominera d’ici dix ou quinze ans dans de nombreux domaines, notamment dans celui du maintien de l’ordre. Ils pourront alors se passer d’un personnel humain trop imprévisible. Ils ont donc, pensent-ils, un mauvais cap à passer. Celui-ci devrait durer jusqu’à ce que leurs flics soient remplacés par des robots fiables, efficaces et sans états d’âme.
Ne croyons pas que l’oligarchie veuille le contrôle social pour le contrôle social. L’oligarchie veut le contrôle social pour rester en toute sécurité au sommet de la pyramide. Et c’est ici qu’intervient la “vaccination“.
Certes, la vaccination est une posture de soumission. C’est un acte qui, psychologiquement, engage l’individu en faveur du pouvoir qui lui a imposé cette vaccination. Celui qui se fait vacciner devra en effet justifier son choix et il ne pourra le faire qu’en reproduisant le narratif gouvernemental. D’une certaine manière, le vacciné va soutenir le gouvernement oppresseur. De fait il sera neutralisé.
Mais la raison d’être profonde de la vaccination se trouve sans doute aussi dans cette volonté avouée par certains (voyez cette vidéo de Jacques Attali) de changer un jour, grâce à elle, notre code génétique, c’est-à-dire notre humanité. Attali y voit l’espoir de nous rendre plus « empathique », traduisez « plus empathique envers nos maîtres ». On se demande également, vu l’accumulation d’effets secondaires « indésirables », l’importante mortalité que l’on constate et les conséquences possibles de l’ARNm sur la fertilité, si la “vaccination“ n’aurait pas aussi pour objectif la dépopulation.
Par cette crise du Covid le processus d’ingénierie sociale déborde donc du domaine social proprement dit pour investir le domaine intime de l’individu. Il ne s’agit plus de reconditionner la société, ce travail est largement accompli. Il s’agit désormais de reconditionner l’individu. Ce reconditionnement est à la fois un reconditionnement comportemental (s’assurer de notre soumission par un acte qui engage) et un reconditionnement biologique. On change notre fonctionnement cellulaire, nos cellules étant désormais assignées à reproduire une protéine étrangère potentiellement tueuse. Simple photocopieuse génétique, le corps humain est ainsi réduit à n’être qu’un objet. Un objet d’expérimentation, mais aussi une chose, un « objet comme les autres », un « être artificiel » ou un « artefact » pour reprendre les propos que tient Attali sur l’humain du futur, tel qu’il l’espère. Or quoi de plus passif, de plus manipulable, de moins dangereux qu’un objet ? Quoi de plus prévisible qu’un être artificiel qu’on a soi-même construit ?
Il y a une continuité entre l’ingénierie sociale mené par le Système depuis la révolution « française » et la bio-ingénierie qu’on nous impose aujourd’hui. Les mêmes sont à la manœuvre. Les mêmes sont leurs victimes. En recomposant l’humain, la bio-ingénierie va faire sauter la dernière digue qui s’oppose au pouvoir absolu de quelques uns sur tout le monde.
Antonin Campana