Cette affaire de coronavirus me laisse perplexe depuis son début. Les Etatsuniens accusent la Chine et les Chinois accusent les Etats-Unis. Le professeur Montagnier, prix Nobel quand même, dit que le coronavirus a été fabriqué à partir du VIH. Les médias-Système écartent son étude d’un revers de main, appuyés par les services de renseignements étatsuniens qui disent savoir que le virus est naturel. Le professeur Raoult, quant à lui, subit des attaques ad hominem (voyez l’affligeant « documentaire » qui précède son entretien sur BFM) dont le seul objectif semble être de déconsidérer une thérapie à base de médicaments bon marché susceptibles d’entraver l’avènement universel d’un vaccin. Tout cela, et plus encore, montre que cette affaire de coronavirus sent quand même un peu le pourri.
Pour les médias-Système et les scientifiques liés aux grands laboratoires, la vaccination semble être la solution attendue. En même temps que l’on invalide l’hydroxychloroquine à longueur d’études controversées, on entretient un suspens sur le nombre de mois ou de semaines qui nous séparent de l’arrivée salvatrice d’un vaccin. Comment ne pas relier cette obsession vaccinale à la volonté de certaines de nos « élites » qui, depuis plus de 20 ans, appellent à vacciner l’ensemble de la population mondiale, et même à tirer partie de cette vaccination pour attribuer à chacun une « identité numérique biométrique » ? Complotisme ? Les faits, indéniables et vérifiables, sont pourtant là !
L’Alliance GAVI, une organisation qui se propose de vacciner toute la population mondiale, a ainsi été créée en 2000 par la Fondation Bill et Melinda Gates, la Banque mondiale et l’OMS (OMS qui, on le sait, est largement financée par des fonds privés, dont la Fondation Gates et des institutions financières).
Quelques années plus tard, en 2016, Microsoft (Bill Gates) et d’autres multinationales (Accenture, PWC, Cisco Systems), créent ID2020, une organisation qui se propose de « fournir une identité numérique » à toute la population mondiale.
En 2017, au Forum de Davos, est créé le CEPI, une fondation récoltant des « dons » pour le développement des vaccins.
En septembre 2017, l’Alliance GAVI (qui veut tous nous vacciner) et ID2020 (qui veut donner à tous une « identité numérique »), s’associent dans un programme qui « vise à tirer partie de la vaccination pour fournir une identité numérique à tous ». Premier lieu d’expérience : le Bangladesh.
Le 18 Octobre 2019, les relais oligarchiques simulent une pandémie mondiale de coronavirus (Exercice Event 201). La Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum de Davos figurent parmi les « partenaires » de l’expérience. Le Centre Johns Hopkins (financé par la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, l’Open Philanthropie…) est son organisateur.
En décembre 2019, des chercheurs du Massachussetts Institute of Technology (M.I.T) financés par la Fondation Gates mettent au point des nanoparticules composées de cristaux à base de cuivre pouvant être injectées en même temps que le vaccin. Ces nanoparticules comportent des données pouvant être lues par un Smartphone. Parmi les généreux mécènes du MIT, on relèvera, outre la Fondation Gates, l’Open society du Georges Soros, la Carnegie Corporation, la Ford Foundation et quelques multinationales dont Microsoft…
Le 24 avril 2020, l’OMS lance un appel pour un accès universel aux vaccins
En résumé, et sans interpréter les faits : il apparaît, premièrement, que certaines élites oligarchiques agissant à travers la Fondation Gates, le Forum de Davos, la Banque mondiale, la Fondation Rockefeller ou l’OMS, veulent une vaccination mondiale. Il apparaît, deuxièmement, que ces mêmes élites voudraient tirer partie de cette vaccination pour donner une identité numérique biométrique à tous. Il apparaît, troisièmement, que des chercheurs financés par ces élites ont justement rendu ce désir possible. Et il apparaît, quatrièmement, que la vaccination de toute la population mondiale est demandée par l’OMS (à l’occasion du coronavirus).
L’élite oligarchique prétend être motivée par la « philanthropie ». Une philanthropie complexe, assurément, puisque les mêmes qui, pour leur bien, voudraient pucer les populations comme on puce des troupeaux n’ont pas été très émus, que l’on sache, par la destruction de l’Irak, de la Lybie, de la Syrie ou du Yemen. Mais admettons. Que l’enfer soit pavé de bonne intentions ou de mauvaises ne change rien au résultat final : si l’élite oligarchique parvient à nous faire tous vacciner et « pucer » comme des animaux, alors nous vivrons tous dans un enfer !
Car ces nanoparticules injectées, si c’est ce moyen qui est retenu (car il y en a d’autres), pourraient certes contenir des données de vaccination, mais aussi, très facilement, des données sur notre identité. Ces renseignements, qu’un simple Smartphone peut lire, dit-on, pourraient être captés à distance puis être analysés et recoupés avec une infinité d’autres renseignements numériques qu’une société comme Microsoft (par exemple) pourrait relier. Instantanément, via des capteurs disposés dans notre environnement, on saurait si on est vacciné ou pas. Et si on ne l’est pas on pourrait (pour le bien de tous) nous interdire de prendre l’avion ou le train, d’entrer dans un théâtre, un cinéma, une piscine, un commerce, et peut-être même de sortir dans la rue (n’oubliez pas que nous avons tous validé le confinement !). Instantanément, grâce à cette identité connectée, on saurait quel livre vous avez acheté sur Amazon, quelles personnes vous avez croisées, quels aliments vous préférez, quels lieux vous fréquentez. En un clic, simplement en captant l’identité inscrite dans les nanoparticules qui sont sous votre peau, on saura absolument tout de vous. Nous serons des prisonniers. L’association de la vaccination obligatoire et de l’identité numérique biométrique nous assure l’enfer sur terre. Comment lutter contre ça ?
A chacun ses grilles d’analyse. Celle de ce blog, on le sait, est l’autochtonisme. Isolés, nous n’avons aucune chance d’échapper à l’injection de nanoparticules connectées sous notre peau. Cela, ou quelque chose d’équivalent, se fera tôt ou tard. Unis, il peut en être autrement. L’article 23 de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, stipule que les peuples autochtones « ont le droit d’être activement associés à l’élaboration et à la définition des programmes de santé » et qu’ils ont même le droit « de les administrer par l’intermédiaire de leurs propres institutions ». Cela signifie que si nous autres, Autochtones européens de France et d’Europe, étions un tant soit peu rassemblés et organisés, nous pourrions légalement bloquer le processus de surveillance généralisée qui se profile ! Une utopie ?
La constitution d’une société parallèle autochtone, et d’un Etat parallèle autochtone, n’est bien sûr, pour le moment, qu’un fantasme de quelques uns, même pas un mythe mobilisateur. Revendiquer notre autochtonie, s’appuyer sur elle pour revendiquer les droits contenus dans la Déclaration des Nations Unies, est une stratégie de combat et de libération nationale, mais pourrait aussi être rapidement, on le voit à travers cet exemple de la vaccination, une nécessité existentielle. Il y a bien sûr l’islam et les masses allochtones qui nous submergent. Mais si le plan oligarchique aboutit, il n’y aura plus d’islam, il n’y aura plus d’allochtones et il n’y aura plus d’Autochtones. Il n’y aura que des individus sous contrôle. Face au pouvoir de quelques oligarques organisés, nous aurons perdu. Définitivement. Mais c’est aussi toute l’humanité qui aura perdu !
Les Autochtones ont donc ici des intérêts communs avec les allochtones. La lutte contre le plan vaccinal de l’oligarchie doit impérativement s’inscrire dans la stratégie de conquête de droits autochtones. Mais cette lutte pourrait aussi associer intelligemment des allochtones, sortes de compagnons de route qui serviraient notre cause collective en servant leur intérêt individuel. Dans un prochain texte nous approfondirons cette idée. En attendant, il faut être conscient que le plan oligarchique de contrôle absolu des individus, via une couverture vaccinale mondiale, est sur le point de réussir. Si nous ne nous opposons pas d’une manière ou d’une autre à ce plan, alors nous sommes perdus. Le confinement a démontré que nous étions prêts à troquer notre liberté pour un peu de sécurité. Indéniablement, nous avons envoyé un très mauvais signal.
Antonin Campana