Samedi 29 septembre : avortement, vers la suppression de la clause de conscience ?
Pour les sénateurs PS, il faut supprimer la clause de conscience en matière d’avortement car cette clause serait le symbole d’un « pouvoir médical » qui s’arroge le droit de « contester la loi » et surtout de « contrôler le corps des femmes » !
« Contrôler le corps des femmes » : ces gens sans aucun sens moral, qui après la PMA propose déjà la GPA, c’est-à-dire la réduction des ventres à de simples machines outils, seraient les défenseurs du « corps des femmes » ? Est-ce que la PMA n’est pas un contrôle du corps des femmes, un vrai contrôle pour le coup ? Est-ce que la GPA ne sera pas une marchandisation du corps des femmes ? Est-ce que l’avortement n’est pas lui aussi un contrôle du corps des femmes, un contrôle destiné à bloquer par un acte violent et mortifère le fonctionnement naturel de ce corps ? Nous vivons une époque maudite : ceux qui tuent et monnayent la vie sont parés de toutes les vertus et ceux qui la protègent sont traînés dans la boue. Ainsi vont les mondes qui s’effondrent.
Dimanche 30 septembre : L’ordre sexué aurait-il une base génétique ?
Je lis dans le Dauphiné libéré d’aujourd’hui : « En termes d’ADN, la ressemblance entre deux femmes ou entre deux hommes est de 99,9 % alors que la ressemblance entre un homme et une femme n’est que de 98,5 %, soit le même ordre de grandeur qu’entre un être humain et un chimpanzé de même sexe, explique la généticienne Claudine Junien. C’est une évidence : biologiquement, hommes et femmes diffèrent notamment dans l’expression de 30 % à 40 % de leurs gènes » !
Et moi qui pensais que les différences étaient purement culturelles, d’éducation, de genre ou de je ne sais quoi ! Simone revient, ils sont devenus fous ! Quand on sait que les êtres humains ont avec la mouche drosophile 70 % de patrimoine génétique commun on comprend qu’avec cette différence de 1,50% une femme n’est pas simplement un homme sans testicules. Je me dis que les sociétés ayant aboli l’ordre sexué contredisent la nature humaine, qu’elles reposent sur du vent et qu’elles sont destinées à s’effondrer. Donc patience !
Lundi 01 octobre : Pédophilie : l’Eglise, toujours l’Eglise, rien que l’Eglise….
« Nous demandons la création d’une commission d’enquête parlementaire afin de faire toute la transparence sur les crimes de pédophilie et leur dissimulation dans l’Église catholique ».
Cette pétition serait initiée par des personnalités « catholiques », telle Roselyne Bachelot militante féministe qui a milité pour le droit à l’avortement, qui est favorable au mariage homosexuel et à l’adoption par les couples homosexuels, qui, ministre, a lancé sous le poids des lobbys une campagne de vaccinations inutiles nous coûtant 2.2 milliards d’Euros, qui s’est produite dans les émissions les plus vulgaires et qui a joué au côté de Marlène Schiappa dans Les monologues du Vagins… C’est cela une « personnalité catholique » ?
Et que dire de sa cosignatrice, Laurence Rossignol, sénateur PS, ancienne militante de la LCR, « pétroleuse » du MLF, proche de SOS racisme, à l’origine du projet de loi supprimant la clause de conscience en matière d’avortement, féministe convaincue pour qui « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents » ?
Et que dire encore du signataire Jacques Mignard, avocat et ami intime de François Hollande, défenseur des terroristes italiens après les années de plomb, initiateur du PACS, avocat du Qatar contre Florian Philippot ?
Et que dire pour finir de William Bourdon, lui aussi signataire fréquemment cité, avocat de Transparency International ( l’un des rouages de N.O.M.) , de SOS Racisme et de militants d’ultra gauche ? Précisons que selon Wikipedia, William Bourdon a fait campagne en 2009 pour la liste conduite par le pédophile Daniel Cohn-Bendit.
Ces gens sont autant chrétiens et soucieux de pédophilie que je suis primat des Gaules. Pourquoi ne s’intéressent-ils pas à la pédophilie dans l’Ecole républicaine, dans les autres religions ou même dans le monde politico-journalistique ? Ils veulent des noms ? Il suffit de les demander ! En fait, ce que veulent ces gens est la destruction totale de l’Eglise, pour qu’elle ne puisse jamais se relever. Mais ils se fatiguent pour rien : l’Eglise est déjà morte, regardez, elle ne se défend même plus !
Mardi 02 octobre : Charles Aznavour : « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais ! »
Charles Aznavour n’est plus. C’est sans doute un bon chansonnier, dit-on, qui disparaît… mais comment oublier qu’il a pris part à toute cette propagande en faveur des migrants, se proposant même publiquement d’en accueillir chez lui ? A propos combien en a-t-il hébergé, des migrants ? Interrogé quelques mois après ses déclarations xénophiles, il a répondu : « Où voulez-vous que j’aille chercher les migrants ? Je ne peux pas et faire mon métier et écrire des chansons ». Bref : « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais ! ».
Mercredi 03 octobre : mise à mort sociale d’un physicien italien
Vendredi dernier le CERN (organisation européenne pour la recherche nucléaire) a organisé un atelier à Genève intitulé « Théorie des hautes énergies et genre » : mais qu’est-ce que le « genre » vient faire dans cette affaire ???
L’incongruité n’a pas échappé au physicien italien Alessandro Strumia. Celui-ci a osé une intervention qui a profondément heurté les préjugés le sens éthique de la direction du CERN. Alessandro Strumia a ainsi démontré à partir «d’équations et de graphiques » que les hommes subissaient une discrimination croissante dans le domaine de la physique et que l’augmentation du nombre des femmes dans les emplois liés à la physique n’était pas dû à leur qualification mais à des impératifs politiques liés au « genre » et à la parité ! Enfonçant le clou, le dangereux déviant a osé préciser : « La physique n’est pas sexiste envers les femmes. Mais la vérité n’a pas d’importance, parce que ça fait partie d’une bataille politique venant de l’extérieur. On ne sait pas qui va gagner. »
Alessandro Strumia a visiblement dépassé les bornes de ce qu’une société démocratique est capable d’entendre. Croyait-il, l’innocent, être dans un monde libre ? Une sanction exemplaire s’imposait. Le CERN a donc immédiatement retiré la présentation de l’italien de son système d’archivage en ligne puis a suspendu le scientifique en question de toute activité au CERN. Bref, Alessandro Strumia a été immédiatement mis à mort tant socialement que professionnellement.
Pourtant Strumia avait raison. Le dogme de la parité pollue la promotion à la compétence et infecte même le domaine scientifique. Croyant accabler le déviant, la directrice du CERN l’admet bêtement : « La diversité fait partie du CERN et est aussi l’une des valeurs fondamentales sous-tendant notre code de conduite. L’organisation est pleinement engagée dans la promotion de la diversité et de l’égalité, à tous les niveaux ». Et s’il n’y avait que le CERN ! Voyez aussi le GIEC, spécialisé dans l’alarmisme climatique, qui a inscrit la parité dans ses statuts ! L’idéologie y gagne sans doute, quant à la science c’est autre chose. Mais il est vrai que la science doit aujourd’hui s’effacer devant l’idéologie : « la vérité n’a pas d’importance ».
Jeudi 04 octobre : Toujours pas de scandale sanitaire en vu
Sept enfants résidant tous dans une zone d'un rayon de 17 km en territoire rural dans l’Ain sont nés sans main entre 2009 et 2014. Rapporté au nombre de naissances, la malformation est 58 fois plus élevée que la normale. Cela est d’autant plus troublant que des animaux semblent souffrir eux-aussi de malformations et que le même phénomène s’observe dans deux autres communes rurales, en Bretagne et en Loire-Atlantique.
Est-ce du à l’exposition aux pesticides ? Les scientifiques du Remera, le "Registre des malformations en Rhône-Alpes", alerte l’Agence nationale de santé publique. Mais cette Agence, placée sous la tutelle du ministre de la Santé et dont la mission est de « protéger et promouvoir l’état de santé de la population », estime quant à elle que ces malformations inhabituelles et nombreuses sont le « fruit du hasard ». La directrice du Remera répond : « Exactement la même malformation, ça ne s'est jamais passé dans l'histoire des malformations » ! Le retour de bâton est immédiat : le Remera pourrait perdre en fin d’année les subventions de l’Agence nationale de santé publique ce qui l’obligerait à cesser ses activités !
Dormez tranquilles braves gens, consommez, les pesticides ne sont pas en cause, c’est l’Agence nationale de santé publique qui vous le dit !
Vendredi 05 octobre : le camp du Bien et les fake news…
La revue Science et le site Sputnik nous apprennent que le Pentagone prévoit l’utilisation des insectes afin de répandre des virus génétiquement modifiés ( programme «Insect Allies» de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du Département américain de la Défense). Un projet purement pacifique… comme le Département américain de la Défense sait les faire (agent orange, napalm, bombes à fragmentation…) .
Mais que fait en Géorgie le laboratoire Richard G.Lugar fondé et financé par les Etats-Unis ? Fort de milliers de documents, l'ancien ministre géorgien de la Sécurité d'État, Igor Guiorgadze (voyez ici) , accuse ce laboratoire de tester des armes biologiques et de mener des expériences sur des êtres humains. La Géorgie, terrain de jeu des États-Unis ? Encore une fausse information assurément.
Selon la Défense russe 73 personnes auraient trouvé la mort dans un laboratoire en Géorgie lors de tests sur un médicament fabriqué par la compagnie américaine Gilead Sciences. Ces tests auraient entraîné la mort de 24 personnes en décembre 2015, ce qui n’aurait pas empêché la compagnie de les continuer en violation des normes internationales et contre le gré des citoyens géorgiens les subissant. 49 autres « patients » seraient décédés par la suite.
Avertissement : tout cela n’est sans doute que « fake news ». Attendons que Le Monde, Libération, BFM-TV et Anne-Sophie Lapix nous délivrent la Vérité.
Antonin Campana