Dernièrement (25 août), j’ai fait paraître un article sur Boulevard Voltaire (copie ci-dessous) pour dénoncer un camp d’été allogène interdit aux Blancs (tenu à Reims du 25 au 28 août). Cet article a été partagé plus de 5000 fois à l’heure où j’écris, ce qui est tout à fait honorable, d’autant qu’il a plus ou moins inspiré d’autres rédacteurs et a contribué à alimenter une polémique, vite éteinte il est vrai.
Ce camp d’été ouvertement ségrégationniste n’a pas été interdit. Il a même fait l’objet d’une protection policière. Les ligues « antiracistes » subventionnées par le contribuable blanc, habituellement si promptes à mener en justice, se sont étrangement contentées d’une désapprobation discrète, sorte de service minimum en la matière (une « injure faite au combat antiraciste », selon Alain Jacubowicz, président de la LICRA, qui ne voit pas l’injure faite aux Blancs. Ils comptent si peu n’est-ce pas ?). Le Maire de la ville de Reims, ville propriétaire du Centre qui accueillait la manifestation antijaphite* (* = Glossaire), a fait savoir dans un premier temps que « rien ne permet d’interdire cette rencontre à ce jour » (« Rien », vraiment ?), puis devant le début de polémique a affirmé avoir voulu « jouer l’apaisement » ( !) tout en se déchargeant courageusement sur le Préfet et les « services de l’Etat ». Le Préfet, parlons-en. Il a estimé non moins courageusement qu’il s’agissait d’une "association privée" qui se réunissait dans "un lieu privé" (un Centre appartenant à la Ville de Reims quand même, mais bon), qu’il n’y avait donc pas « expression publique de racisme ou d'exclusion", ni de "trouble à l'ordre public" et que de toute manière il y avait le « Juge » qui lui dirait « monsieur le préfet vous avez commis un acte illégal, vous avez violé une liberté publique » (sic, et en plus il a sans doute raison !). Les « services de l’Etat » sont intervenus avec fermeté en la personne de G. Clavreul, Délégué Interministériel à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (DILCRA). Celui-ci a hardiment déclaré : « le racisme inversé est encore du racisme ». Pesez bien chaque mot. « Racisme inversé » : Il s’agit donc d’un racisme retourné sur celui qui en a fait état le premier, en l’occurrence le Blanc. Or ce racisme boomerang est « encore du racisme » : le racisme retourné sur le Blanc est un racisme qui a certes perdu de sa force et de sa dangerosité par rapport au racisme originel et pur pratiqué par les Blancs mais c’est « encore », bien que diminué, du racisme : pas pour longtemps sans doute ! En fait Clavreul botte en touche tout en rappelant que les Blancs sont bien le ventre de la bête. Un bon républicain !
Et les Autochtones qu’ont-ils fait dans tout cela ? Rien ou presque. Une dizaine de Résistants sauvent l’honneur en manifestant avec le Front National devant le Centre (Cf. image ci-dessus). Une pétition lancée sur internet a quant à elle réunie… 87 signataires ! Et c’est à peu près tout. L’Etat et leurs alliés allochtones nous bafouent de concert, nous insultent, nous traitent comme de la m… et nous ne bougeons pas. Pourquoi ?
Dernièrement, un restaurateur a refusé de servir deux femmes voilées dans son restaurant situé à Tremblay-en-France (NB : c’était SON restaurant, pas celui de la Ville). Résultat : la police est intervenue dans l’établissement, la ministre des Familles (sic) a dénoncé un « comportement intolérable », la DILCRA a été saisie de l’affaire pour engager des « sanctions », le parquet de Bobigny a ouvert une enquête pour « discrimination à caractère racial », la Maire de Tremblay-en-France a demandé que la « Justice » (sic) sanctionne « avec sévérité les propos et actes racistes », le CFCM a déposé une plainte, le Collectif contre l’islamophobie est monté au créneau, les allochtones manifestent devant le restaurant… Le pauvre restaurateur, sans doute piégé, a du faire des excuses publiques aux musulmans injuriés et pour sa sécurité et celle de sa famille il a du aussi changer secrètement de domicile.
Deux poids deux mesures ? Non, rien d’anormal la dedans. Nous nous comportons comme des m…, et on nous traite comme des m… Logique. Nous pouvons être des millions de Français « conscients » (et nous sommes des millions !), si nous ne nous organisons pas en communauté, si nous ne formons pas une nation autochtone dans la pseudo nation républicaine, si nous ne bâtissons pas un Etat dans l’Etat, si nous faisons confiance à la « Justice », à la police, à l’armée… et pas à nos propres capacités, nous serons méprisés et humiliés jusqu’à ce que nous n’existions plus. La République est un régime politique qui est né de la force et qui ne comprend que la force. Or nous sommes forts. Il suffit de le faire savoir en regroupant la partie consciente de notre peuple. Si nous réussissons ce rassemblement historique, l’Etat républicain et ses supplétifs allochtones viendront nous manger dans la main. Et si nous ne réussissons pas, nous disparaitrons. Quoi de plus normal ?
Antonin Campana
25-28 août 2016 : un séminaire interdit aux Blancs à Reims !
C’est ce que nous apprennent deux articles du Figaro du 21 et du 23 août (ici et ici). Un camp d’été de « formation à l’antiracisme politique » (sic) va être organisé par des « collectifs » proches des Indigènes de la république du 25 au 28 août à Reims. Sa particularité ? Il sera interdit aux Blancs !
Cette colonisation momentanée d’une parcelle de nos terres ancestrales, avec un entre-soi excluant les Blancs, est une ségrégation raciale assumée, un apartheid qui en dit long sur les fantasmes politiques des gens qui l’organisent.
Ces Africains ou « afro-descendants » se disent victimes d’un racisme d’Etat. Cette représentation de la réalité relève de la pathologie mentale. Qu’est-ce que le racisme en effet si ce n’est un système d’avilissement. Et de quel avilissement d’Etat souffrent les Noirs en France ? Celui d’être accueillis par millions ? Et si tel était le cas, pourquoi les organisateurs de ce camp africain ne retournent-ils pas au milieu de leur peuple, sur ce continent noir où tout reste à faire ? Apartheid pour apartheid, non-mixité pour non-mixité, il faut pousser la logique jusqu’au bout : pas deux ou trois jours à Reims, votre vie entière dans cette Afrique profonde dont vous ferez, loin du racisme blanc qui vous empêche de réussir, un continent exemplaire, moderne et prospère.
En fait, les non-Blancs ne sont pas victimes du racisme d’Etat, mais profitent de celui-ci. Car il y a effectivement un racisme d’Etat, c’est-à-dire un système d’avilissement structuré et institutionnel, mais celui-ci ne s’exerce pas contre les Noirs ou les musulmans mais, exclusivement, contre les Blancs.
Ce racisme structurel, le seul qui soit démontrable, repose d’une part sur la négation de la blanchitude (au contraire, notez-le bien, de la négritude constamment valorisée) et d’autre part, de manière tout à fait paradoxale, sur la réduction de la blanchitude au racisme. Le Blanc et le Français de souche n’existent pas, si ce n’est à travers le racisme qui traverse toute leur histoire et qui explique, à vous Africains, votre statut d’opprimés et à nous, les Blancs, notre statut d’oppresseurs. Or ce système d’avilissement du Blanc-raciste est enseigné dans les écoles, est inscrit dans une historiographie « légale » (qui stigmatise les Blancs, mais est très indulgente avec vous, les non-Blanc), est véhiculé par les associations « antiracistes » subventionnées par l’Etat, sert de référence à la « justice » d’Etat, fait l’objet de campagnes antijaphiques d’Etat…. sans oublier que ce même Etat républicain utilise ce système d’avilissement pour expliquer l’échec de son modèle de société, et s’en sert aussi au passage pour neutraliser les opposants à l’immigration. Le racisme d’Etat, structurel, institutionnel, le seul, le vrai, l’unique, est le racisme anti-Blancs.
A l’heure où j’écris, les opprimés réunis à Reims n’ont fait l’objet d’aucune interdiction légale. On imagine sans peine les cris d’orfraie de la classe politico-médiatique, les manifestations, les envolées lyriques sur la bête immonde et les jours sombres de notre histoire, si un séminaire organisé par des Blancs interdisait son accès aux Noirs ! "Rien ne permet d'interdire cette rencontre à ce jour", a fait savoir la Ville de Reims, qui siège au conseil d'administration du centre de séjour (Cf. Le Figaro). Pour Martine Solczanski, directrice du centre de séjour, le séminaire n'interfère pas avec les principes de non-discrimination défendus par son établissement : "Nous avons traité leur demande de réservation comme tous les groupes et professionnellement ça ne me pose pas de problème", dit-elle. (Cf. Le Figaro). SOS Racisme et la LICRA n’ont pas encore porté plainte, mais cela ne saurait tarder bien que leur silence fut mystérieusement assourdissant lors de la rencontre « paroles non blanches », organisée en avril dernier à l’université Paris VIII.
Vous avez dit « vivre ensemble » ?
Antonin Campana