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Terre Autochtone

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Le blog des aborigènes d'Europe, par Antonin Campana


Rabbin Dynovisz : « Blancs, défendez-vous ! »

Publié par Antonin Campana sur 14 Avril 2016, 16:07pm

Catégories : #Les joies de la nation Frankenstein, #Antijaphétisme

Rabbin Dynovisz : « Blancs, défendez-vous ! »

[Nous présentons ci-après un extrait d’un cours du rabbin Haïm Dynovisz (vidéo). Nous engageons nos lecteurs à en soupeser chaque mot. Ces propos sont ceux d’un rabbin qui professe un judaïsme très orthodoxe. Mais auparavant cette rapide  introduction, ce petit décryptage aussi…]  

 

Le Rav Haïm Dynovisz est né en Belgique et dirige l’institut Pit’ha Dékarta de Jérusalem. Cet institut de tendance Loubavitch s’adresse principalement à la communauté francophone israélienne, mais dispense aussi des cours de judaïsme via internet. Le rabbin Dynovisz est souvent un invité des synagogues d’Ile de France et organise aussi des séminaires près du lac de Tibériade.  

Dynovisz est intéressant de notre point de vue car il n’appartient pas au peuple blanc (il distingue clairement le peuple juif du peuple blanc dont il parle : « le problème n’est pas que chez eux [les Blancs], il est chez nous aussi [ les Juifs]») et fait un diagnostic en quelque sorte « extérieur » et, pourrait-on dire, moins « impliqué » qui va dans le sens de nos propres observations : « la race blanche est en train de disparaître », dit-il.

Il ne faut cependant pas se méprendre sur les motivations profondes du rabbin. Il se contrefout du peuple blanc : celui-ci ne l’intéresse que dans la mesure où sa persistance dans le temps est nécessaire au peuple juif et à la réalisation de la « Promesse ». Pour continuer à exister le peuple blanc devrait abandonner ce dieu « bon » et un peu « con », dit Dynovisz, ce « dieu d’amour, ce dieu gentil [qui dit] faites l’amour et pas la guerre ». Bref : le peuple blanc devrait abandonner sa religion chrétienne féminisée, se soumettre au dieu juif c’est-à-dire aussi au judaïsme, cette religion qui fait du peuple juif le peuple élu pour gouverner l’humanité.

« Blancs défendez-vous, dit Dynovisz. Défendez-vous, on est en train de prendre vos femmes et vos enfants. Et vous savez pourquoi on est en train de prendre vos femmes et vos enfants ? Parce que depuis 2000 ans on vous a présenté le dieu de l’amour !».  Rien à redire là-dessus. Sauf que le rabbin nous propose un « dieu guerrier qui se bat et demande qu’on se batte » et surtout que le dieu dont il est question est un « dieu de guerre », celui-là même qui a construit un système d’avilissement des peuples cananéens, puis qui a planifié et organisé leur extermination systématique par les Hébreux. Que le christianisme tourne le dos à ce genre de dieu est tout à son honneur. Par contre, que le peuple hébreu se vante d’avoir mis en application ce plan divin, que le peuple juif honore encore les criminels qui se sont alors illustrés en tuant jusqu’aux plus petits enfants, que le sionisme revendique au nom de la Bible la possession d’une terre que seul un holocauste leur a procuré selon ce même livre, ne peut que heurter le sens moral d’un Européen. Depuis Marcion, Fauste de Milève et jusqu’aux Cathares, ces textes qui ordonnent de tuer tout ce qui a souffle de vie ont été regardés par de nombreux Européens comme l’œuvre du Mal, non comme celle de Dieu.

Le dieu juif ne correspond pas à l’âme du peuple blanc, mais le dieu chrétien lui est tout aussi étranger. C’est pourquoi du monothéisme il a fait un polythéisme, des dieux il a fait des saints, des solstices il a fait des Noël, des moines il a fait des chevaliers, des prêtres il a fait des soldats, des croix il  a fait des épées. Car nul besoin d’un dieu de guerre dont la cruauté le dispute à l’iniquité. Les saints guerriers sont nos modèles séculaires et justifient amplement, sans pour autant écarter la tolérance et la compassion,  le devoir de se battre : saint Georges, patron des chevaliers au cœur de la Reconquista ; saint Michel, premier guerrier venu du ciel ; saint Louis, le roi justicier ; sainte Jeanne d’Arc qui délivra le royaume de France…

Dynovisz fait un diagnostic juste mais son remède est faux.  Il voudrait que les Blancs reconnaissent le dieu juif, donc la prééminence d’Israël, alors qu’il suffit que le christianisme souffreteux retrouve son caractère européen pour retrouver vigueur et combativité. Si le peuple blanc en reste au « vous n’aurez pas ma haine », alors ce que prédit Dynovisz se réalisera. Mais si le guerrier venu du ciel revient en chacun de nous, alors nul besoin d’un dieu vengeur et d’un peuple prêtre pour que l’on continue à façonner le monde comme nous le faisons depuis 30 000 ans.

 

Antonin Campana   

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P
De nouveau incomprehension,ses cours sont là pour nous éveiller c'est un combat intérieur,contre nos mauvaises pensées,nos sentiments,nos actes.Au contraire il nous tend la main.Je suis ses cours depuis des années et loin de lui l'agressivité.Je vous conseille de le contacter personnellement et lui poser des questions.La fraternité entre juifs et non juifs sera primordial pour les temps à venir.lL'intellect sépare les êtres,l'amour dans la fraternité unira les êtres même s'ils sont différents,surtout s'ils sont différents.
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H
Je le proclame Rav Dynowitz est mon maitre.<br /> Il devient apres le Rebbe et avec le Rav Benyamin Merguy l un des vecteurs de la Torah de verite.<br /> Je leur offre toute ma confiance.
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B
Dynowicz est surtout un imbecile et un ignorant. Il fait appel aux instincts les plus méprisables de l’être humain.
A
Antonin, je ne saurais trop vous inviter à mieux vous informer sur les guerres des Hébreux : <br /> leurs ennemis, nos ennemis, furent des peuples qui pratiquaient systématiquement le sacrifice humain et l'esclavage. Dans les lois de base des Hébreux, il y a non seulement l'interdiction du sacrifice humain, mais aussi le dynamitage de l'esclavage par la libération ordonnée des esclaves tous les 7 ans.<br /> L'étude des lois a accompagné leur mise en pratique dès l'origine : au point que notre tradition met en scène Mosché (Moise) à qui Ha Shem montre une école 1500 ans plus tard ; Mosché n'y comprend rien, Ha Shem lui explique que chaque génération doit apprendre et enseigner. <br /> Notre maitre Hillel, peu avant l'ère chrétienne, résume la Torah à un voyageur grec qui exigeait de comprendre le temps qu'il reste sur un pied (déjà à l'époque les bibliothèques juives effrayaient les autres peuples) :<br /> "ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te fasse, c'est là toute la Torah. <br /> Le reste n'en est que le commentaire. <br /> Maintenant va, et étudie !"<br /> La dernière phrase est importante aussi..<br /> Bafouer la réalité des Hébreux au nom de son ignorance n'est pas excusable.
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A
Désolé si ces quelques lignes ont pu vous froisser. Telle n’était pas mon intention. Je considère que rien ne peut justifier la volonté d’exterminer un groupe humain. Un homme, un peuple ou un Etat a le droit de se défendre et même de tuer dans certains cas. Je l’admets volontiers. Mais je considère que celui qui tue doit pleinement en assumer la responsabilité. Décharger sa conscience sur Dieu, un verset, une sourate ou une description avilissante des gens à exterminer n’est pas acceptable. Les conquistadors espagnols se sont basés sur l’Ancien Testament pour justifier certains massacres. Effectivement, les Indiens pratiquaient, comme les Cananéens selon la Bible, les sacrifices humains, l’esclavage et même l’anthropophagie rituelle. Et alors ? Cela justifie-t-il un génocide ? Seule la conscience face à elle-même, sans rien qui puisse absoudre le crime, peut retenir la main. Nous entrons dans un monde dangereux et plein d’inhumanité : tout ce qui est susceptible de désamorcer les consciences doit être regardé de manière critique.

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