[Le mouvement « No Border » dispose de moyens financiers énormes qui lui permettent d’organiser un véritable réseau international d’activistes. Qui le soutient, qui finance ? Sans se cacher : l’Union européenne, Georges Soros, l’OSCE, la fondation Rothschild et le patronat allemand ! ]
Qui sont ces « No Borders » qui manipulent les « migrants » de Calais et s’illustrent régulièrement par des actions violentes ? On sait que ces fils et filles de bonne famille sont pour l’abolition des frontières, l’immigration de masse, la régularisation des clandestins et l’arrêt des expulsions. On sait que ces enfants gâtés de notre société peuvent à peu près tout se permettre en République : de la violence envers les policiers à l’agression de Calaisiens récalcitrants. Ainsi, commettre des violences volontaires sur la police doublées d’incitation à la violence contre l’autorité publique vous expose à la relaxe sous les applaudissements… si vous êtes un No Border ! Faire passer clandestinement un enfant dans un autre pays vous exposera à une petite amende avec sursis… si c’est pour la juste cause des « migrants » ! De la même façon, prendre à l’abordage un Ferry vous exposera à être jugé pour « infraction au code des transports », un peu comme si vous preniez le métro sans titre de transport, mais à condition bien sûr d’être un « rebelle » !
Le no-border est le produit de la boboïtude familiale et d’une éducation scolaire véhiculant les valeurs et les mythes ambiants. C’est un personnage façonné par le Système, pétri de conformisme, incapable de raisonner hors de ses préjugés de classe, montrant peu d’esprit critique et d’indépendance intellectuelle : comment le no-border a-t-il pu créer la multinationale no-border ? Comment un être avec aussi peu de relief et de personnalité a-t-il pu organiser et financer un réseau international se structurant « spontanément » aussi bien en France, qu’en Grande-Bretagne, en Australie, en Ukraine ou au Mexique ? Comment est-il parvenu, sans même se servir de l’argent de papa, à faire fonctionner des camps d’été (Strasbourg, Bruxelles, Stockholm…) nécessitant des sommes dignes d’une révolution de couleur pour former militants et cadres, faire passer des éléments de langage, imprimer et distribuer des guides pratiques, créer des médias alternatifs, fournir autant de matériel que besoin ?
La réponse se trouve à Calais même et directement sur Internet, tant nos maîtres n’ont plus rien à cacher, tant ils ne craignent plus le pouvoir d’un peuple qu’ils pensent définitivement domestiqué.
Cinq minutes de recherches sur Internet (difficile pour un journaliste de faire un tel travail) suffisent en effet pour nous apprendre que l’action no-border à Calais est organisée et coordonnée par une officine nommée Calais Migrant Solidarity . Cette officine se veut une métastase de United for Intercultural Action, un « Réseau européen contre le nationalisme, le racisme, le fascisme et pour soutenir les migrants et réfugiés » (sic).
Mais qui finance ce courageux réseau ? « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es », dit le bon sens populaire…
La réponse se trouve sur le site même de United for Intercultural Action . Nous trouvons parmi les généreux « supporters » (liste non exhaustive) des no-borders, tenez-vous bien :
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la Commission européenne
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le Conseil de l’Europe
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le Conseil œcuménique des Eglises
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la Rothschild Foudation
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le Jewish Humanitarian Fund
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L’Open Society de Georges Soros
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L’OSCE
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Le patronat et le gouvernement fédéral allemand (Foundation Remembrance, EVZ)
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le Home Office Britannique
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etc
Vous avez bien lu, les « No Borders », ces rebelles, ces anarchistes, ces radicaux, ces ultra-gauches… sont financés principalement par l’Union Européenne et le milliardaire Soros, avec l’appui de la fondation Rothschild ! Plus cocasse encore, le Home Office britannique, c’est-à-dire le département censé lutter contre l’immigration illégale, fait partie des principaux soutiens désintéressés !
Nous voyons donc :
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Un gouvernement britannique refusant officiellement l’immigration des migrants, mais soutenant discrètement ceux qui la mettent en œuvre
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Un gouvernement français envoyant ses CRS dans la « Jungle », mais finançant une Union européenne qui rémunère ouvertement les milices qui les agressent
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Des no-borders se disant anarchistes et anticapitalistes, mais faisant avec empressement un travail de larbins au service du Grand Capital
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Des Calaisiens subissant les violences des migrants, mais finançant de leurs impôts ceux qui instrumentalisent ces violences
On le voit, les dés sont pipés. On nous manipule. Ménageant notre exaspération, « nos » élus font du théâtre à la télé pour nous rassurer, pour faire durer : le temps travaille pour leurs maîtres. Nos dirigeants hypocrites jouent un double jeu dont la finalité est bien la « société ouverte » voulue par Soros, les no-borders ou la Commission européenne. Espérer que ces élus résolvent le problème des migrants relève donc du délire absolu : ils sont mandatées par l’oligarchie pour les installer au milieu de nous. Et depuis quarante ans, elles s’en tiennent à cette feuille de route.
Antonin Campana