Un ministre du régime républicain nie l’existence de notre peuple, rien de plus banal.
On comprend bien la logique nauséabonde qui anime cet homme (et tout le régime avec lui) : admettre l’existence de notre peuple, c’est admettre qu’il ne dispose pas de lui-même, qu’il est prisonnier d’une société artificielle mondialisée par la République. C’est admettre que ce peuple a des droits collectifs et que la construction politique républicaine est une prison qui les lui refuse. Mieux vaut le déni qu’une remise en cause d’une idéologie tueuse de peuples. Et puis, on ne détruit pas ce qui n’existe pas : le crime n'en est pas un.
Antonin Campana