Allons donc, diront certains : « encore un délire conspirationniste » !
Il n’en est rien, même si quelques points me paraissent étranges à l’heure où j’écris. Ainsi de cette carte d’identité retrouvée par bonheur dans la voiture des islamistes, qui me fait irrésistiblement penser au passeport de Mohammed Atta retrouvé sur les ruines fumantes du World Trade Center… Mais tel n’est pas mon propos.
Quand je dis que l’épisode sanglant de l’attentat contre Charlie Hebdo est un complot de la République, je veux dire que c’est un complot de l’Oligarchie supranationale, ou du Système si l’on préfère, dont la République est ici en France le bras armé. Pas un complot qui visait spécifiquement Charlie Hebdo bien sûr : un complot plus global dont « Charlie » fut une victime collatérale.
Ce que je dis c’est que l’oligarchie supranationale, donc le Système, donc la République, a sciemment et en toute connaissance de cause, créé les conditions nécessaires pour que se produise ce genre d’attentats. En suscitant et en organisant l’installation au milieu de notre peuple vieillissant de millions d’individus plutôt jeunes, n’ayant ni notre culture, ni notre religion, ni notre mode de vie, le Système et nos élites savaient que les choses se passeraient mal, qu’il y aurait tôt ou tard un « choc » violent. Et s’ils savaient, c’est qu’ils « voulaient » !
En fait, la question est assez simple :
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soit nous avons affaire à des irresponsables qui s’entourent de benêts sortis des plus grandes écoles, des rêveurs utopiques qui ignorent tout du destin des sociétés mélangées, celle de l’Espagne musulmane par exemple, des royaumes chrétiens en Terre sainte, ou plus près de nous celles des Balkans, du Liban, ou des Etats-Unis avec leur indépassable question raciale, et alors admettons, heureux soient les simples d’esprit, « ils ne savaient pas ».
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soit nous avons affaire à des gens intelligents, cultivés, bien renseignés et entourés de « spécialistes », qui connaissent autant que nous l’histoire des sociétés hétérogènes, qui n’ignorent pas que PARTOUT et à TOUTES LES EPOQUES, les sociétés multiculturelles ou multiraciales ont toujours été des sociétés multiconflictuelles et violentes, et alors « ils savaient ». Ils savaient qu’en planifiant un tel type de société, ils planifiaient le « choc de civilisation », la violence réciproque et, indirectement, l’assassinat des journalistes de Charlie Hebdo. Et s’ils savaient, c’est qu’ils « voulaient » !
C’est bien évidemment la seconde option qui est la bonne. Le Système et son relais républicain nous ont volontairement fait basculer dans ce type de société monstrueuse pour la bonne et simple raison que leur pouvoir serait ainsi définitivement installé !
Les élites républicaines au service du Système savaient pertinemment que la société Frankenstein qu’elles bricolaient (la « diversité ») serait une société violente, que chaque morceau de la Créature voudrait imposer aux autres ses propres valeurs et son propre mode de vie. Il serait naïf de croire que cette violence prévisible (et prévue, comment en aurait-il pu être autrement ?) n’était qu’une conséquence accidentelle du grand projet : c’était la raison d’être du projet ! Nos barons fous ont fabriqué une créature pour qu’elle soit violente. Violente à l’égard des peuples, dans le cadre de ce qu’il faut bien nommer une « stratégie du choc ».
Dès lors que des populations culturellement éloignées sont intégrées dans une nation Frankenstein, celles-ci ont deux possibilités.
Elles peuvent reléguer leur identité au placard pour se disloquer dans le melting pot et se fondre dans une République universelle, généreusement ouverte à tous les hommes de la terre. Elles peuvent faire ce qu’elles ont toujours fait dans le passé : essayer d’imposer aux autres leurs choix, leurs valeurs et leur mode de vie, avec pour corollaire de joyeuses parties d’étripage mutuel.
Le Système a mis les peuples, notre peuple, en situation de devoir choisir entre la peste et le choléra. La violence est instrumentalisée pour abattre les identités car l’identité est une frontière (culturelle, nationale, sexuelle…) qui par définition fait obstacle au mondialisme. La République nous force ainsi à faire un « choix odieux » : la guerre de tous contre tous ou le « vivre ensemble » dans la « paix républicaine ». La crispation sanglante sur les identités ou le renoncement dans la douceur de la « neutralité républicaine ». La guerre civile ou le « pacte républicain ». La douloureuse revendication des appartenances spécifiques ou la confortable acceptation des « valeurs universelles ». Etre un homme souffrant dans son peuple ou un clone bonheurisé dans le Système. La République, superbe escroquerie, se pose comme seul recours face à la violence qu’elle a engendrée à cet effet !
En résumé : il apparaît que l’Oligarchie supranationale, le Système, la République ont volontairement mélangé des populations différentes pour provoquer une violence insupportable qui obligera les peuples, victimes de cette stratégie du choc, à délaisser volontairement leur identité, leurs valeurs ancestrales, leurs religions…, consacrant par cela l’avènement d’une société planétaire uniformisée.
Les attentats islamistes en France transmettent donc le message subliminal suivant : soit vous devenez des sortes d’insectes sociaux sans questionnement identitaire, de braves termites sans dissemblances, consommant et produisant (des « citoyens égaux » en République) et alors vous pourrez « vivre ensemble », soit vous connaîtrez l’enfer. C’est le deal républicain : La République ou les frères Kouachi.
Le principal objectif des politiques d’immigration a été de casser les peuples, d’empêcher tout retour à une organisation identitaire de nos sociétés, de les livrer pieds et poings liés à l’Oligarchie supranationale. Les récents attentats font partie intégrante de cette stratégie : ils ont une vertu pédagogique et doivent être associés au « choix odieux » que nous laisse la République. La République est responsable de cette situation pour le plus grand bénéfice de l’oligarchie mondialiste qui en tirera tous les avantages, et au préjudice des peuples sommés soit de disparaître, soit de s’entretuer joyeusement.
Alors, il faut raison garder : ne nous trompons pas d’ennemi !
Antonin Campana